Le traité signé avec azoulay marque l'abandon du ministère de la culture tunisien à celui de la france : re-colonisation.

Mais ce traité du bardo bis a été signé après la diffusion de cette photo.

Je crois qu'on peut dire que cette photo est bidon et qu'il s'agissait d'une mise en scène pour nous faire trouver ces deux ministres très soucieux de rendre au pays ce qu'il lui appartient.

je crois que la statuette n'a jamais été volée, ni rechercjée ni retrouvée. je crois qu'elle a juste quitté sa place le temps de cette photo.

pourquoi ? pour nous émouvoir (je n'ai pas été émue) au moment même ou le ministre de l'interieur donnait son accord à celui de la culture pour céder une tranche de notre souveraineté à la france (azoulay).

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En fait ce minsitère est un organisme destiné à écerveler le peuple tunisien à coup de festival où concourent à qui plus vulgaire et plus criard que l'autre (on ne voit plus d'équivalents à Amalia Rodriguez, Fayrouz, Myriam Makeba) et à ne rien faire pour la protection du patrimoine de quelque période qu'il soit et qui devrait être entretenu, protégé, exposé, de manière à ce que chaque tunisien comme chaque étranger puisse s'approcher au plus
près des traces de notre histoire.

Melina Mercouri, actrice de cinema, comedienne de tragedies grecques, chanteuse à la voix rauque, avait été ministre de la culture en Grèce; elle a laissé derrière elle une marque de son passage qui embellit et son pays pour les grecs eux-mêmes mais qui ont grandit la grèce toute entière. Elle était passionnée par la culture grecque, et elle s'était comportée non comme une technocrate mais comme une femme décidée de priter du rôle qu'on lui a
donner à jouer en étant minsitre de la culture pour faire jaillir de sa passion une oeuvre muséale, alors qu'elle n'était formée qu'au theâtre.


Pourquoi chez nous n'y a-til pas cette passion ? à mon avis parce que bilinguisme obligatoire qu'on nous impose à l'école dilue notre amour pour notre langue, notre histoire, notre pays.

L'enseignement dans les pays qui réussissent à créer de la beauté, Grèce, Itali, France, est toujours fait dans une seule langue, la langue nationale.

Nous devrions mettre fin à ce colonialisme rampant et destructeur qu'est l'enseignement francophone dans notre pays et tout centrer sur notre langue nationale, l'arabe fos'ha et notre culture qui déborde de nos frontières de qulle que période que l'on parle; c'est d'un tremplin solide que des initiatives solides et qui ont un sens partiront, pas avant.

Les musées et les sites archeologiques sont laissés à l'abandon par des minsitres successifs de la culture qui n'ont été bons qu'à distribuer des autorisations de fouilles à des équipes venue de toutes les parties de l'europe et des USA. Une fois les fouilles achevés il n'y a plus qu'un cabanon qui désigne la présence d'un gardien.

Gardien abandonné à son sort, gardien mal rémunéré, méprisé par les gens du ministère et surtout par des universitaires tunisiens qui descendent des voitures parlent entre eux devant lui en français, mais gardien jaloux de ce pourqoui il est là : un patrimoine qui avant tout appartient à la nation et dont il se sent et à juste titre respnsable. Sn seul recours est la gendarmerie laquelle réagit au quart de tour.

Au fond des bureaux c'est toute autre chose et n'en parlons pas, ou plutôt si parlons en pour dire que du fond des bureau naît l'espoir qu'une équipe américaine à la fin de sa fouille vienne inviter le signatire de l'autorisation à dîner.


Les musées ne sont pas ouverts au peuple tunisien que l'on maintien loin de tout ce qui devrait le concerner d'abord. essayez d'aller au musée de Carthage, vous y serez reçu comme des moins que rien, sauf bien sûr si vous arrivez vêtu des haillons que seul un touriste européen porte et que vous parlez allemand ou mieux encore français (c'est fou ce que l'on rampe devant le francophone dans ce ministère).

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Il faut centraliser toutes ces pieces de valeur au musee du bardo afin qu'un large public puisse les admirer et ou la securite est garantie ,le musee de Dermech n'étant pas trés fréquenté.