Meurtre de Lord Shaftesbury: le frère de Jamila a avoué

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C'est un crime qui a défrayé la chronique de la Côte d'Azur et qui a été très médiatisé par la presse anglaise. Une affaire qui semble être désormais résolue comme le note Le Figaro :

Dix mois après la disparition à Cannes du lord britannique Anthony Ashley-Cooper, dixième comte de Shaftesbury, et quatre mois après l'identification de son corps, retrouvé dans un fossé à Théoule-sur-Mer (Alpes-Maritimes), son meurtrier présumé, Mohammed M'Barek – en l'occurrence son beau-frère –, est passé mercredi aux aveux devant le juge d'instruction de Grasse. Il est bien l'auteur des coups mortels, portés, jure-t-il, au cours d'une bagarre et sans intention de tuer.

Pour l'avocat de la famille Shaftesbury : il affirme au contraire que la bagarre entre Anthony Ashley-Cooper et Mohammed M'Barek cacherait un assassinat déguisé. Selon Nice-Matin , les enquêteurs auraient en effet découvert sur le compte en banque de Mohammed une transaction de 150 000 euros, qui pourrait correspondre au solde d'un contrat . Au moment de la disparition, Anthony Ashley-Cooper et Jamila (photo) étaient sur le point de divorcer.


Tout est-il vraiment dit cette fois ? La fin tragique d'Anthony Ashley-Cooper, 66 ans, parti s'encanailler, sur le tard, dans les «bars à hôtesses» de la riviera française, avait donné lieu à l'élaboration de bien des scénarios. Un assassinat, à n'en pas douter, juraient les tabloïds anglais pour qui le dixième comte de Shaftesbury ne pouvait qu'avoir été victime des appétits financiers de sa troisième épouse, Jamila M'Barek, jeune Néerlando-Tunisienne rencontrée dans l'établissement de nuit où elle travaillait alors.




Le couple était en instance de divorce au moment de la disparition du lord qui venait de faire une nouvelle rencontre. Il était vieillissant, elle était jeune encore. Il se souciait comme d'une guigne d'un rang et de titres auxquels elle se montrait en revanche très attachée.

Jamila est aujourd'hui toujours détenue à la maison d'arrêt de Nice pour «homicide volontaire», mais son avocat, Me Franck De Vita, déposera une première demande de mise en liberté : «Ma cliente est totalement dédouanée par les aveux de son frère, se félicite-t-il. Elle a été témoin de la mort de son mari, elle n'y a pris aucune part.»



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