ça m'a fait rappeler l'histoire d'un coursier; un jour il a cédé à la pression de l'un des ses enfants et lui a acheté des espadrilles de grande marque ( 250 DT). En revenant chez lui le soir, il a trouvé ses autres enfants pleurant et criant et ne voulaient ni manger ni boire; chacun il voulait aussi acheter : le PC, la bicyclette, le portable...Et ça durait une semaine.
Pour les calmer, à la fin du mois en sortant de la banque avec les salaires des employés, au lieu de revenir à la société, il s'est dirigé vers une grande surface pour leur acheter tout ce qu'ils voulaient.
Et le lendemain, il s'est trouvé le pauvre derrière les barreaux de la Mornaguia.

Et bientôt les femmes et hommes dans le domaine sexualité serais leur tour

Et la semaine prochaine d'autres grèves , d'autres négociations, école élémentaire, universitaire...


voila une proposition:

je pense que sans un réel dialogue national, au sujet de l'éducation à toute échelle, et à tout les niveaux et tout ses dirigés ''recherche, heures sup/ou de soutien...), la situation va rester explosive, et peut-être nous assisterons à une réelle révolution estudiantine (école, collège, lycée, université, écoles supérieures ), mais cette fois si , ça sera contre l'UGTT et non pas contre le gouvernement. ou bien contre le système tout court.
et là ,il va y avoir beaucoup des dégâts, et même de la division. et la Tunisie n'est pas dans un moment, où elle pourra supporter ce coup dur qui pourra arriver à tout moment, si cette situation ce poursuit.
d'où l’intérêt, de rentrer dans un dialogue national, général et généralisé qui traitera de l’éducation et du système éducatif (...).

je pense qu'il faut mieux:
1- retour au travail et éviter l'année blanche,
2- arrêter ces négociations (ni règle ni objectif de valeur) et rentrer dans un dialogue national.
3- les premiers éléments du dialogue national, s'appliqueront à partir de la rentrée prochaine 2015/2016, pour une finalisation lors de la rentrée d'après, 2016/2017.

tahiyati à toutes les parties