Tunisie: ''2,8%, taux de croissance prévu pour 2014'' (Ministre)
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Le gouvernement provisoire table sur un taux de croissance de 2,8%, au titre de l'année 2014, a déclaré M.Hakim Ben Hamouda, ministre de l'économie et des finances.
Au cours d'une conférence de presse tenue, lundi avec la délégation du Fonds monétaire international (FMI) et la Banque centrale de Tunisie (BCT), M.Ben Hamouda a indiqué que plusieurs discussions entre le FMI et l'administration tunisienne, ont permis de définir un taux de croissance réaliste et objectif et de réviser les prévisions du gouvernement précédant Le ministre a précisé, dans ce cadre, que les premières prévisions tablaient sur un taux de croissance oscillant entre 2,3 et 3%.
Le taux prévu par le gouvernement provisoire et la BCT est de 2,8% lequel sera révisé à la lumière des évolutions de la conjoncture économique du pays, a-t-il encore fait savoir.
Au cours d'une conférence de presse tenue, lundi avec la délégation du Fonds monétaire international (FMI) et la Banque centrale de Tunisie (BCT), M.Ben Hamouda a indiqué que plusieurs discussions entre le FMI et l'administration tunisienne, ont permis de définir un taux de croissance réaliste et objectif et de réviser les prévisions du gouvernement précédant Le ministre a précisé, dans ce cadre, que les premières prévisions tablaient sur un taux de croissance oscillant entre 2,3 et 3%.
Le taux prévu par le gouvernement provisoire et la BCT est de 2,8% lequel sera révisé à la lumière des évolutions de la conjoncture économique du pays, a-t-il encore fait savoir.
Pour la région du Moyen Orient et l'Afrique du Nord (MENA), les prévisions du FMI et la Banque mondiale (BM) tablent sur un taux de croissance oscillant entre 2,6 et 2,8%, pour toute l'année 2014.
Le ministre de l'économie et des finances a relevé que La définition d'un taux de croissance se base sur les fondamentaux économiques de manière générale et les prévisions en ressources fiscales. « Personnellement, je préfère des bonnes surprises à la fin de l'année, en révisant à la hausse le taux de croissance et non pas vers la baisse », a-t-il estimé.
Il a fait remarquer que la problématique ne concerne pas la révision du taux de croissance mais, elle est liée « aux équilibres économiques généraux ». « Des prévisions de croissance à la hausse devront être accompagnées par un renforcement des ressources fiscales ».
En cas de maintien d'un taux de croissance de 4% alors qu'en ne peut réaliser que 2,8%, l'écart en ressources fiscales sera de 400 millions de dinars, a-t-il encore souligné.
En ce qui concerne les données relatives aux mois de janvier et février 2014 publiées par l'Institut national de la statistique (INS), Ben Hamouda a dit que ces statistiques ne sont pas nouvelles, précisant que les analyses effectuées montrent une difficulté à rattraper le retard enregistré au cours de deux premiers mois.
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