L'UTAP appelle au consensus sur la constitution d'un gouvernement d'Union nationale
Tap -
L'Union Tunisienne, de l'Agriculture et de la Pêche (UTAP) a appelé mardi, dans un communiqué, « tous les acteurs politiques et sociaux, au consensus sur la constitution d'un gouvernement d'Union nationale» et a rejeté l'idée de la dissolution de l'Assemblée nationale constituante (ANC).
L'UTAP a également exprimé dans ce communiqué, publié à l'issue d'une réunion de son bureau exécutif élargi, «sa profonde inquiétude de la détérioration de la situation dans le pays » appelant à resserrer les rangs pour faire face au terrorisme et à accorder à la lutte contre ce phénomène «la priorité absolue».
L'organisation agricole, dont le président est un ancien membre du conseil de la « Choura » du mouvement Ennahdha au pouvoir, a en outre, exprimé son attachement à l'ANC, dont la dissolution équivaut, selon l'organisation, à « un constat d'échec de l'idée de la participation politique, de l'arbitrage des urnes et de l'alternance pacifique du pouvoir ».
Les appels à la constitution d'un nouveau gouvernement se sont multipliés mardi, après le massacre de 8 militaires tués lundi, dans une embuscade au Mont Chaambi, et l'assassinat le 25 juillet 2013 de l'opposant Mohamed Brahmi.
L'UTAP a également exprimé dans ce communiqué, publié à l'issue d'une réunion de son bureau exécutif élargi, «sa profonde inquiétude de la détérioration de la situation dans le pays » appelant à resserrer les rangs pour faire face au terrorisme et à accorder à la lutte contre ce phénomène «la priorité absolue».
L'organisation agricole, dont le président est un ancien membre du conseil de la « Choura » du mouvement Ennahdha au pouvoir, a en outre, exprimé son attachement à l'ANC, dont la dissolution équivaut, selon l'organisation, à « un constat d'échec de l'idée de la participation politique, de l'arbitrage des urnes et de l'alternance pacifique du pouvoir ».
Les appels à la constitution d'un nouveau gouvernement se sont multipliés mardi, après le massacre de 8 militaires tués lundi, dans une embuscade au Mont Chaambi, et l'assassinat le 25 juillet 2013 de l'opposant Mohamed Brahmi.
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