Pour encore plus de visibilité et de sensibilisation du public tunisien, la marque de lessive préférée des Tunisiens n’a pas hésité, malgré l’ampleur des coûts, à refaire un nouveau packaging pour annoncer l’opération.
L’Association Salama ne cesse, depuis sa création en 2009 par Madame Cyrine Ben Ali Mabrouk, de venir en aide à ces enfants hospitalisés en leur apportant écoute et réconfort. L’amélioration de leurs conditions d’hospitalisation, la création d’espaces scolaires au sein de l’hôpital et la gestion de la douleur de l’enfant malade sont parmi les priorités immédiates de cette association à but non lucratif.
L''Association Salama a décidé d’aller plus loin dans son engagement en partageant avec la marque Nadhif ses valeurs d’entraide et de solidarité afin d’embellir concrètement la vie de ces jeunes enfants.



Dès la mise en œuvre de l’opération, l’Association Salama commencera à exaucer les premiers rêves de ces enfants. Ces moments forts, où l’enfant en présence de sa famille, découvrira que son rêve a été réalisé comme il le souhaitait, seront filmés et projetés lors de la seconde conférence de presse qui aura lieu à la fin de l’opération. Une façon de partager ce bonheur avec le public qui prendra ainsi connaissance de la nature et du nombre de rêves exaucés, ainsi que du montant global des dons alloués.
Gageons que la générosité de Nadhif, le dévouement de Salama et l’esprit de bon sens du consommateur permettront de gommer à jamais la tristesse du regard de ces bouts de chou et leur permettront de s’évader et d’oublier le poids de leurs maladies, tout en partageant des moments fort agréables avec leurs proches.



A noter que pour recueillir les rêves secrets des enfants hospitalisés, une équipe de bénévoles de l’Association Salama a visité, entre le 20 septembre et le 8 octobre dernier, les services pédiatriques de huit hôpitaux publics à travers tout le pays. Ala, 9 ans, enfant malade de l’hôpital régional de Menzel Bourguiba à Bizerte : « Mon rêve serait d’avoir deux brebis et un mouton pour commencer un élevage et aider mon papa et ma maman. Mes parents sont pauvres et se battent pour me faire soigner chaque mois. Alors, si grâce à moi, j’ai ce petit élevage, à mon tour je pourrais aussi les aider ».