Assalam ma question aux agents qui pratique tous les moyens de torture envers ces etres humains detenus pour leurs convictions.
Je veux cite qques exemples : humiliee,frappe,torture,faire penetrer une bouteille ou un baton dans l´anus,arracher les ongles,enfoncer la tete du prisonnier dans l´urine et le (kaka),baiser par l´agent,ensuite etre baiser par les autres detenus par ordre des surveillants sinon punir le detenu,
massacrer avec un tuyau ou des cables,etc......
Ma question est : est ce que c´est un ordre de faire tous ces affreuses choses a ton freres tunisien.Je crois vous avez l´ordre de torturer mais vous aimez votre travail pour faire mal et punir.Quand vous rigoler en insultant et torturer vous sentir une superiorite que vous etes invincible mais dommage vous etes l´instrument de vos maitre la preuve quand vous etes devant un superieur votre comportement est la preuve de votre valeur (zero)il peuvent vous insulter,humilier et vous dire oui monsieur oui chef mais vous avez oublier ALLAH qui n´oublie JAMAIS.
J´espere que ALLAH nous pardonne tous et ont ne refait jamais la meme faute et de dire non et d´aimer nos freres et soeurs.Vous avez des enfants et vous etes obliges de reponder sinon vous etes des menteurs.
LES DETENUS POLITIQUES
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Bonjour mohamed,
voila qui vient confirmer tes dires:
voila qui vient confirmer tes dires:
Source:LibéEn Tunisie, «des détenus dans un état de terreur»Reportage Malgré l’amnistie générale adoptée jeudi, les prisonniers politiques n’ont pas quitté des cellules de plus en plus dangereuses depuis la révolution du jasmin.
Par LÉA-LISA WESTERHOFF Correspondante à Rabat (Maroc), CHRISTOPHE AYAD Envoyés spéciaux à Tunis
D’une main fébrile, Otmane Saïdi sort des photocopies d’une housse d’ordinateur convertie en porte-documents. Le certificat médical de son fils Rami, attestant qu’en 2007 il souffrait de troubles psychiques et était sous traitement médical. Ses bulletins de notes à l’université de Sousse. Depuis cinq jours il ne sait plus vers qui se tourner pour obtenir de l’aide. «On nous a dit qu’il y avait eu des libérations… Voilà cinq jours que je suis à Tunis, et toujours rien», raconte le vieil homme. Quelques heures avant il a rendu visite à Rami, âgé de 27 ans. Toujours derrière les barreaux, à la prison de Mornaguia, près de Tunis. En 2009, il a été condamné à quatre ans de prison ferme au titre de la loi antiterroriste. La famille a fait appel. Depuis, les audiences ont sans cesse été repoussées. Qu’a-t-il fait ? « Rien ! assure son père. Il n’est pas politisé, les islamistes ça ne l’a jamais intéressé.»
Samir ben Amor, avocat, connaît bien ce type de cas. Secrétaire général de l’Association internationale de soutien aux prisonniers politiques (AISPP), il est l’un des rares à avoir défendu les dossiers de terrorisme pendant les années Ben Ali. Il estime aujourd’hui à plus de 3 000 le nombre de détenus condamnés au titre de cette loi du 10 décembre 2003 - adoptée lors de la Journée mondiale des droits de l’homme, et intitulée «Contribution de la Tunisie à l’effort international contre le terrorisme». «C’était une façon de se garantir le soutien occidental après le 11 Septembre.» Dans les faits, la loi permet de poursuivre n’importe qui sur une simple présomption, sans preuve matérielle. Pour Ben Amor, il ne fait pas de doute que ces «islamistes» sont des prisonniers politiques, au même titre que ceux d’opinion.
islamistes. Comme beaucoup, Otmane Saïdi espérait donc retrouver son fils libre, samedi, suite à l’adoption d’une loi d’amnistie générale deux jours plus tôt, par le tout jeune gouvernement de transition tunisien. Le texte, qui doit encore passer devant le Parlement, concerne officiellement tous les prisonniers politiques, islamistes compris. «Le mouvement Ennahda [parti islamiste interdit, ndlr] sera concerné par l’amnistie générale», avait confirmé jeudi le ministre de l’Enseignement supérieur, Ahmed Brahim. Vendredi, le Premier ministre de transition, Mohamed Ghannouchi, a aussi promis d’abroger les textes antidémocratiques comme la loi antiterroriste. Sur le terrain, les promesses sont plus lentes à se réaliser. «Jusqu’à maintenant, aucun membre d’Ennahda ni aucune personne arrêtée en vertu de la loi antiterroriste n’a été libéré», affirme Abdelkarim Harouni, membre d’Ennahda et vice-président de Liberté et équité, une association de protection des droits de l’homme. Une information confirmée par le représentant de Human Rights Watch, Eric Goldstein qui parle d’une dizaine de libérations, essentiellement des détenus en préventive. «Si ce gouvernement se veut crédible, il faut libérer ces prisonniers d’opinion tout de suite et leur accorder des droits civils et politiques pour qu’ils puissent redevenir des citoyens à part entière», poursuit Harouni, lui-même privé de passeport du fait de son appartenance à Ennahda. Fondé en 1981 par des intellectuels inspirés par les Frères musulmans égyptiens, Ennahda («renaissance») a été d’abord toléré, avant de se voir interdit, ses militants pourchassés et emprisonnés, après avoir enregistré un score de 17% aux élections générales de 1989.
meurtres. «Dans les prisons, la situation est très dangereuse, de plus en plus de morts nous sont signalés par les familles», affirme Abdelkarim Harouni qui cite des cas de meurtres par balles dans les prisons de Bizerte, de Tunis et de Sousse. Hedia Daraji confirme. La dernière fois qu’elle a obtenu un court droit de visite pour voir son fils à la prison de Borj al-Roumi, près de Bizerte, «il était derrière une vitre mais le téléphone pour se parler était cassé. On n’a pu échanger que par gestes». Quand elle lui a demandé si des prisonniers avaient été tués ces derniers jours, il a montré trois fois ses deux paumes ouvertes : trente. «C’est grave, renchérit Me Samir Dilou, président de l’AISPP. A l’heure où nous parlons, il se passe des choses terribles dans les prisons. Plus de prisonniers sont morts derrière les barreaux qu’il n’y a eu de morts durant toute la révolution. Des détenus sont abattus comme des chiens, d’autres sont laissés sans nourriture. Les prisonniers vivent dans un état de terreur.»
Selon les décomptes de l’AISPP, 100 à 150 prisonniers sont morts. Une quarantaine ont perdu la vie dans l’incendie du centre de détention de Monastir (au sud-est de Tunis), d’autres ont été victimes des tirs des gardiens, morts par étouffement dû aux gaz lacrymogènes ou de manque de soins, à Sfax, Sousse ou Bizerte. Des informations impossibles à confirmer de source indépendante
AU SECOUR ! ON ASSASSINE LES PRISONNIERS
Salam
En effet les prisonniers paient le prix de la revolution. qu ALLAH leur vienne en aide .
Sérieuse aggravation de la situation dans les prisons tunisiennes (communiqué)
Article placé le 25 jan 2011, par Mecanopolis
Les familles des prisonniers politiques (dont 3 appartiennent au Mouvement de la Nahdha) et des prisonniers d’opinion (des centaines de condamnés en vertu de la loi antiterroriste), attendent toujours avec angoisse la libération des leurs. Pour tenter de se faire entendre, elles font un sit-in quotidien devant le siège du ministère de la Justice et des Droits de l’Homme sans avoir reçu la moindre réponse officielle les rassurant sur leurs enfants.
Un autre élément vient conforter leur angoisse et ajouter à la préoccupation de l’opinion publique, c’est l’aggravation de la situation dans nombre de prisons, qui a vu des tirs à balles sur des prisonniers, entraînant des tués et des blessés dans les prisons de Borj Er Roumi, Messaadine, Mehdia, Monastir, à la prison de Bizerte ville et de Mornag, notamment les prisonniers Béchir Ben Youssef Ben Habib Gharbi (prison de Bizerte ville), Abdallah Ben Houssine Trabelsi (24 ans), Aymen Jelassi, Soufiane Marzouk (prison de Borj Er Roumi), Mohammed Smida, Mohammed Ali Abdellaoui, Hamdi Zarrouk (prisons de Monastir), alors que leurs familles étaient empêchées de leur rendre visite et de leur apporter le couffin.
Des familles nous ont informés à la suite de la visite qu’elles ont pu leur rendre aujourd’hui lundi 24 janvier 2011 du degré de violence que doivent affronter les prisonniers à la prison de Borj El Amri. La famille du prisonnier d’opinion Ali Kalaï a notamment été la victime du vice directeur de la prison, le dénommé Anouer. Il en a perdu quatre dents et il a une côte cassée. La famille du prisonnier d’opinion Hamed Gharbi a dit avoir trouvé son fils dans un mauvais état résultant de la peur, de la faim, du manque d’hygiène et des mauvais traitements.
Me Mohammed Nouri
Liberté et Equité
Organisation Indépendante de Droits humains
33 rue Mokhtar Atya, 1001, Tunis
Tel/fax : 71 340 860
Liberte.equite@gmail.com
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Tags: Ben Ali, États-Unis, Jasmin, Nahdha, Prison, Prisonniers politiques, Révolution de Jasmin
En effet les prisonniers paient le prix de la revolution. qu ALLAH leur vienne en aide .
Sérieuse aggravation de la situation dans les prisons tunisiennes (communiqué)
Article placé le 25 jan 2011, par Mecanopolis
Les familles des prisonniers politiques (dont 3 appartiennent au Mouvement de la Nahdha) et des prisonniers d’opinion (des centaines de condamnés en vertu de la loi antiterroriste), attendent toujours avec angoisse la libération des leurs. Pour tenter de se faire entendre, elles font un sit-in quotidien devant le siège du ministère de la Justice et des Droits de l’Homme sans avoir reçu la moindre réponse officielle les rassurant sur leurs enfants.
Un autre élément vient conforter leur angoisse et ajouter à la préoccupation de l’opinion publique, c’est l’aggravation de la situation dans nombre de prisons, qui a vu des tirs à balles sur des prisonniers, entraînant des tués et des blessés dans les prisons de Borj Er Roumi, Messaadine, Mehdia, Monastir, à la prison de Bizerte ville et de Mornag, notamment les prisonniers Béchir Ben Youssef Ben Habib Gharbi (prison de Bizerte ville), Abdallah Ben Houssine Trabelsi (24 ans), Aymen Jelassi, Soufiane Marzouk (prison de Borj Er Roumi), Mohammed Smida, Mohammed Ali Abdellaoui, Hamdi Zarrouk (prisons de Monastir), alors que leurs familles étaient empêchées de leur rendre visite et de leur apporter le couffin.
Des familles nous ont informés à la suite de la visite qu’elles ont pu leur rendre aujourd’hui lundi 24 janvier 2011 du degré de violence que doivent affronter les prisonniers à la prison de Borj El Amri. La famille du prisonnier d’opinion Ali Kalaï a notamment été la victime du vice directeur de la prison, le dénommé Anouer. Il en a perdu quatre dents et il a une côte cassée. La famille du prisonnier d’opinion Hamed Gharbi a dit avoir trouvé son fils dans un mauvais état résultant de la peur, de la faim, du manque d’hygiène et des mauvais traitements.
Me Mohammed Nouri
Liberté et Equité
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