Islam et modernité
baldquino,voici ce que je pense que sont les idées clés de ton précedent commentaire:
-situation désastreuse de la condition de la femme musulmane
-l'emancipation de la femme est tributaire du recouvrement de ses droits octroyés par l'islam???
-l'injustice est religieusement légalisée???
-droit musulman obsolète
-confusion entre religion et droit religieux ou musulman
-reticence des musulmans aux changements.
-le csp tunisien et coran
-sans changement,risque d'effondrement de la religion.
-capitalisme et religion(islam)
renouvellement comme exigence de l'époque.
j'aimerai si tout el monde est d'accord, qu'on en discute point par point pour ne pas perdre le fil du debat,et j'aimerai connaître l'avis de joujou,imed,felten et tout ceux qui ont quelque chose à dire également.
-situation désastreuse de la condition de la femme musulmane
-l'emancipation de la femme est tributaire du recouvrement de ses droits octroyés par l'islam???
-l'injustice est religieusement légalisée???
-droit musulman obsolète
-confusion entre religion et droit religieux ou musulman
-reticence des musulmans aux changements.
-le csp tunisien et coran
-sans changement,risque d'effondrement de la religion.
-capitalisme et religion(islam)
renouvellement comme exigence de l'époque.
j'aimerai si tout el monde est d'accord, qu'on en discute point par point pour ne pas perdre le fil du debat,et j'aimerai connaître l'avis de joujou,imed,felten et tout ceux qui ont quelque chose à dire également.
bonsoir,
Soit, ...la chose, malgré ses carences est entendue, ceà quoi, répond le discours officiel d'aujourd'hui: "Sans doute.... faudrait-il maintenant aller plus loin, tant il est vrai que les discriminations qui pèsent encore sur nos femmes paralysent l'évolution profonde de nos pays."
Aude là des approches procédant par bilan et par acquis, très familières dans nos contrées, force est de constater que le diagnostic ainsi brossé, décrite une réalité spécifique à la Tunisie, la situation de la femme ailleurs reste préoccupante, mais à des degrés divers et inégaux: le Pakistan et le Bangladesh, ont été gouverné par des femmes, n'empêche que c'est dans ces 2 pays que le sort de la femme reste des plus tragiques. La Turquie, pays laïc militant, s'en tire mieux et offre des perspectives plus réjouissantes.
Je ne compte pas le voile, dont la base coranique est précaire, ni l'enfermement. L'un et l'autre, partout en recul depuis le début du siècle, font cependant aujourd'hui, l'intégrisme aidant, un retour offensif."
à noter que "le voile" dans la situation désastreuse de la femme musulmane, joue un rôle plutôt progressiste, puisqu'il permet à la femme voilée de sortir, et de participer à la vie publique et quotidienne de la cité au lieu rester soustraite chez elle et sans voix ni voie.
- Alors, les vraies discriminations sont ailleurs? - Non, car le Livre, qui stipule une demi-part pour la femme dans les héritages et la compte pour une moitié dans les témoignages, glisse aussi, dans la même sourate, la "cause" (au sens juridique du terme) de cette réduction et suggère par là-même la façon d'éliminer ces inégalités. - A savoir? - "Les hommes assument les femmes à raison de ce dont Dieu les avantage sur elles et de ce dont ils font dépense sur leurs propres biens" (Coran IV, 34). Rêvons du mujtahid ["docteur capable d'initiative en matière doctrinale"] assez hardi pour considérer que les femmes, à raison de l'autonomie socio-économique dont les dote de plus en plus la modernité, ne sont plus "assumées" par les hommes, qui perdent sur elles l'"avantage" en question. Que dit le Coran? La sourate IV, "Les femmes", dès le premier verset, pose l'être féminin dans sa dignité de créature égale à l'homme. Mais cette égale, "essence intègre, existence brisée", subit aussitôt la condition de l'orphelin. (Coran, IV, 2, 3). La polygamie est tolérée, malgré une option expresse pour la monogamie. Ce qui n'était que concession faite aux murs de l'époque fut cependant, par une société encore archaïque, interprété comme un droit. L'exégèse alla plus loin. Négligeant du Coran lui-même les suggestions, balayant ses invitations répétées au pardon de l'épouse fautive, elle insista sur les aspects coercitifs. S'appuyant sur deux ou trois hadîth-s, elle invoqua même, pour lapider la femme adultère, un verset prétendument oublié dans la recension! On ne peut plus saintement guider le bras de Dieu... Quoi qu'il en soit de cet épineux problème d'exégèse (où d'ailleurs une secte, les Kharîjites, se refuse à suivre la majorité des Croyants), une chose est sûre: l'Islam a frappé et frappe encore l'observateur du dehors par sa masculinité. Que cela soit dû à la spécificité des sociétés porteuses plutôt qu'à la Révélation, c'est évident, cet aspect concourt avec d'autres, déjà énumérés, pour soulever aux Musulmans une difficulté d'adaptation de plus. Le statut des femmes en effet, dans le monde moderne, est devenu à juste titre l'un des critères de l'avancement des sociétés. Des traits discriminatoires tels que l'infériorité des droits de l'épouse en matière testamentaire et testimoniale; la dissymétrie des pouvoirs entre sexes quant a la répudiation; la retombée du voile enfin, qui, après trois ou quatre générations de recul, se manifeste à nouveau dans certains milieux comme exigence identitaire, ont bien de quoi préoccuper.
« Si Nous avons fait de vous des peuples et des tribus, c’est en vue de votre connaissance mutuelle » Coran, XLIX, 13
L'Islam se veut affirmation de l'Immuable. Des centaines de milliers d'hommes témoignent simultanément, et si l'on veut, paradoxalement, de sa permanence et de sa temporalité. Le problème pour lui n'est pas de demeurer, ni de croire en soi, ni même de participer à un monde du mouvant et du relatif, c'est de faire la jonction entre ceci et cela. C'est de se construire une problématique à l'échelle de la variation des époques et de la variété des milieux. Le fait-il? Ou même en conçoit-il la nécessité? Rien de moins sûr.
C'est en ce sens que devrait porter l'effort de ses réformateurs.
Le dilemme posé reste toujours celui du choix déchirant à faire pour les minorités nombreuses que l'Islam projette en Europe et dans les deux Amériques: ou d'accepter une "vie en scaphandre", ou d'inventer des évolutions compatibles au milieu d'accueil. Tout comme une théologie de la mise à jour du patrimoine, ne manquerait-il pas à l'Islam une théologie de l'Autre et de l'Ailleurs?
L'espace et l'histoire dans le droit. Si l'on date de la fin du IXe siècle de notre ère la maturité des grandes écoles juridiques, constitutives de ce qu'on appelle aujourd'hui la sharî'a, la "Loi", ou Sunna, le "Système", on ne peut éluder ces constats: Il s'était écoulé auparavant plus de deux siècles de développement pour l'Islam: exercice jurisprudentiel, recherche doctrinale, expérience politique s'étalant finalement de la Transoxiane à l'Andalousie. De telles péripéties n'auraient-elles pas influé sur le développement de fait du kérygme initial?
Comment l'histoire ultérieure, jusqu'à nos jours, pourrait-elle être perdue de vue dans l'interprétation et l'application? L'aventure de l'homme islamique prend un tour inédit avec les nouvelles vicissitudes de l'histoire des Arabes, Turcs, Persans et autres. L'Islam se recroise à présent avec d'autres religions et cultures sur des territoires qui ne peuvent plus ressortir simplement pour lui d'un Dar al-Harb ou "Espace de guerre", mais de systèmes riverains ou d'un concert international où il doit s'intégrer sous peine de graves mécomptes. Cela, joint au renouvellement accéléré des situations, du cadre de vie, des problèmes, ne peut pas ne pas retentir, jusqu'à un certain niveau, sur ses positions.
Des solutions nouvelles, dans la projection des principes: tel serait l'ijtihâd de notre temps. On doit au penseur iranien Shariati, trop tôt disparu, cette remarque d'évidence que la sharî'a dont se réclament aujourd'hui tant d'activistes les engage non pas au fixisme, mais au contraire à la dynamique qu'implique l'étymologie du mot. Il évoque en effet la voie, l'accès, le cheminement.
J'ai repéré la finesse de ta nuance déjà à tes premiers commentaires, tu ne fais que m'apporter là, la confirmation d'un préjugé largement favorable et je l'espère porteur de bonnes nouvelles, quant à notre soussis du moment : "le changement" et quel changement?.Merci pour la bienvenue felten,
puisque en français « chino » ça ne se prononce pas « kino » comme en italien c’est pour ça que j’ai opté pour « baldaquino » au lieu de « baldacchino ».
Vaste programme: l'ancien militant destourien?( celui que tu appelles "l'élite intellectuelle", nous rappele que, dès la libération de la Tunisie, Bourguiba avait "libéré la femme". Dédaignant les chipotages par quoi d'autres législateurs, l'égyptien par exemple, avaient apporté quelques retouches à un sort peu enviable, il s'était attaqué, lui, d'emblée, au vrai problème: la polygamie et la répudiation unilatérale. Cela se passait à la fin des années 50, dans l'allégresse de l'indépendance.La demande de changement prend sa légitimité essentiellement dans la situation désastreuse que vit la femme musulmane, en fait ce combat pour l’émancipation de la femme s’avère être indispensable si on veut rebâtir notre nation car je suis persuader que si les femmes prennent possession de tout les droits que l’islam leurs accorde on pourra surement venir à bout des problèmes de la société musulmane. comment voulez-vous qu’on tolère que l’injustice soit d’ordre dans nos sociétés et en plus elle soit légalisée religieusement par un droit musulman qui n’a guère changé depuis des centaines d’années (il faut éviter de confondre « religion » et « droit », c’est bien cette confusion qui fait que beaucoup de musulmans soient réticents à l’égard d’une interprétation moderne du saint coran, le csp en tunisie n’est que le résultats d’une réinterprétation du coran, cette réinterprétaiton a été opérée par une élite intellectuelle très proche de l’islam et éloignée des courants culturels occidentaux comme le communisme ou autres idéologies totalement éloignés de la religion).
Soit, ...la chose, malgré ses carences est entendue, ceà quoi, répond le discours officiel d'aujourd'hui: "Sans doute.... faudrait-il maintenant aller plus loin, tant il est vrai que les discriminations qui pèsent encore sur nos femmes paralysent l'évolution profonde de nos pays."
Aude là des approches procédant par bilan et par acquis, très familières dans nos contrées, force est de constater que le diagnostic ainsi brossé, décrite une réalité spécifique à la Tunisie, la situation de la femme ailleurs reste préoccupante, mais à des degrés divers et inégaux: le Pakistan et le Bangladesh, ont été gouverné par des femmes, n'empêche que c'est dans ces 2 pays que le sort de la femme reste des plus tragiques. La Turquie, pays laïc militant, s'en tire mieux et offre des perspectives plus réjouissantes.
Je ne compte pas le voile, dont la base coranique est précaire, ni l'enfermement. L'un et l'autre, partout en recul depuis le début du siècle, font cependant aujourd'hui, l'intégrisme aidant, un retour offensif."
à noter que "le voile" dans la situation désastreuse de la femme musulmane, joue un rôle plutôt progressiste, puisqu'il permet à la femme voilée de sortir, et de participer à la vie publique et quotidienne de la cité au lieu rester soustraite chez elle et sans voix ni voie.
- Alors, les vraies discriminations sont ailleurs? - Non, car le Livre, qui stipule une demi-part pour la femme dans les héritages et la compte pour une moitié dans les témoignages, glisse aussi, dans la même sourate, la "cause" (au sens juridique du terme) de cette réduction et suggère par là-même la façon d'éliminer ces inégalités. - A savoir? - "Les hommes assument les femmes à raison de ce dont Dieu les avantage sur elles et de ce dont ils font dépense sur leurs propres biens" (Coran IV, 34). Rêvons du mujtahid ["docteur capable d'initiative en matière doctrinale"] assez hardi pour considérer que les femmes, à raison de l'autonomie socio-économique dont les dote de plus en plus la modernité, ne sont plus "assumées" par les hommes, qui perdent sur elles l'"avantage" en question. Que dit le Coran? La sourate IV, "Les femmes", dès le premier verset, pose l'être féminin dans sa dignité de créature égale à l'homme. Mais cette égale, "essence intègre, existence brisée", subit aussitôt la condition de l'orphelin. (Coran, IV, 2, 3). La polygamie est tolérée, malgré une option expresse pour la monogamie. Ce qui n'était que concession faite aux murs de l'époque fut cependant, par une société encore archaïque, interprété comme un droit. L'exégèse alla plus loin. Négligeant du Coran lui-même les suggestions, balayant ses invitations répétées au pardon de l'épouse fautive, elle insista sur les aspects coercitifs. S'appuyant sur deux ou trois hadîth-s, elle invoqua même, pour lapider la femme adultère, un verset prétendument oublié dans la recension! On ne peut plus saintement guider le bras de Dieu... Quoi qu'il en soit de cet épineux problème d'exégèse (où d'ailleurs une secte, les Kharîjites, se refuse à suivre la majorité des Croyants), une chose est sûre: l'Islam a frappé et frappe encore l'observateur du dehors par sa masculinité. Que cela soit dû à la spécificité des sociétés porteuses plutôt qu'à la Révélation, c'est évident, cet aspect concourt avec d'autres, déjà énumérés, pour soulever aux Musulmans une difficulté d'adaptation de plus. Le statut des femmes en effet, dans le monde moderne, est devenu à juste titre l'un des critères de l'avancement des sociétés. Des traits discriminatoires tels que l'infériorité des droits de l'épouse en matière testamentaire et testimoniale; la dissymétrie des pouvoirs entre sexes quant a la répudiation; la retombée du voile enfin, qui, après trois ou quatre générations de recul, se manifeste à nouveau dans certains milieux comme exigence identitaire, ont bien de quoi préoccuper.
« Si Nous avons fait de vous des peuples et des tribus, c’est en vue de votre connaissance mutuelle » Coran, XLIX, 13
L'Islam se veut affirmation de l'Immuable. Des centaines de milliers d'hommes témoignent simultanément, et si l'on veut, paradoxalement, de sa permanence et de sa temporalité. Le problème pour lui n'est pas de demeurer, ni de croire en soi, ni même de participer à un monde du mouvant et du relatif, c'est de faire la jonction entre ceci et cela. C'est de se construire une problématique à l'échelle de la variation des époques et de la variété des milieux. Le fait-il? Ou même en conçoit-il la nécessité? Rien de moins sûr.
C'est en ce sens que devrait porter l'effort de ses réformateurs.
Le dilemme posé reste toujours celui du choix déchirant à faire pour les minorités nombreuses que l'Islam projette en Europe et dans les deux Amériques: ou d'accepter une "vie en scaphandre", ou d'inventer des évolutions compatibles au milieu d'accueil. Tout comme une théologie de la mise à jour du patrimoine, ne manquerait-il pas à l'Islam une théologie de l'Autre et de l'Ailleurs?
L'espace et l'histoire dans le droit. Si l'on date de la fin du IXe siècle de notre ère la maturité des grandes écoles juridiques, constitutives de ce qu'on appelle aujourd'hui la sharî'a, la "Loi", ou Sunna, le "Système", on ne peut éluder ces constats: Il s'était écoulé auparavant plus de deux siècles de développement pour l'Islam: exercice jurisprudentiel, recherche doctrinale, expérience politique s'étalant finalement de la Transoxiane à l'Andalousie. De telles péripéties n'auraient-elles pas influé sur le développement de fait du kérygme initial?
Comment l'histoire ultérieure, jusqu'à nos jours, pourrait-elle être perdue de vue dans l'interprétation et l'application? L'aventure de l'homme islamique prend un tour inédit avec les nouvelles vicissitudes de l'histoire des Arabes, Turcs, Persans et autres. L'Islam se recroise à présent avec d'autres religions et cultures sur des territoires qui ne peuvent plus ressortir simplement pour lui d'un Dar al-Harb ou "Espace de guerre", mais de systèmes riverains ou d'un concert international où il doit s'intégrer sous peine de graves mécomptes. Cela, joint au renouvellement accéléré des situations, du cadre de vie, des problèmes, ne peut pas ne pas retentir, jusqu'à un certain niveau, sur ses positions.
Des solutions nouvelles, dans la projection des principes: tel serait l'ijtihâd de notre temps. On doit au penseur iranien Shariati, trop tôt disparu, cette remarque d'évidence que la sharî'a dont se réclament aujourd'hui tant d'activistes les engage non pas au fixisme, mais au contraire à la dynamique qu'implique l'étymologie du mot. Il évoque en effet la voie, l'accès, le cheminement.
Malheureux, les pays qui ont besoin de héros
excepté les salamalecs et les caresses à l'encontre de baldaquino,tout le reste n'est qu'un grossier plagiat d'un numéro spécial du temps stratégique(journal suisse) et qui d'ailleurs n'apporte rien de nouveau au debat.
j'éprouve beaucoup de tristesse et de frustration de constater que non seulement felten n'a aucune opinion propre sur ce sujet mais en plus il manque de respect aux membres de ce forum en insultant leur intelligence et croyant les rouler,pourtant depuis des mois on en parle,et on lui a très amicalement demander de cesser ces copier-coller parce que ce sont ses opinions à lui qui nous intéressent et non celles de ces auteurs se prétendant spécialistes en la matière.
l'essence d'un forum est l'échange d'idées entre intervenants,on peut citer tel ou tel auteur pour appuyer ses propres idées mais jamais usurper les idées de ces auteurs et se les approprier,ceci est une escroquerie.
dans ces conditions,je ne peux plus continuer a discuter avec vous sur ce sujet,bonne continuation et bon plagiat.
Bonne journée à tous.
j'éprouve beaucoup de tristesse et de frustration de constater que non seulement felten n'a aucune opinion propre sur ce sujet mais en plus il manque de respect aux membres de ce forum en insultant leur intelligence et croyant les rouler,pourtant depuis des mois on en parle,et on lui a très amicalement demander de cesser ces copier-coller parce que ce sont ses opinions à lui qui nous intéressent et non celles de ces auteurs se prétendant spécialistes en la matière.
l'essence d'un forum est l'échange d'idées entre intervenants,on peut citer tel ou tel auteur pour appuyer ses propres idées mais jamais usurper les idées de ces auteurs et se les approprier,ceci est une escroquerie.
dans ces conditions,je ne peux plus continuer a discuter avec vous sur ce sujet,bonne continuation et bon plagiat.
Bonne journée à tous.
Leila,
on en reparlera le jour ou tu cesseras de disputer les personnes au lieu de discuter les idées, en l’occurrence, discuter ce texte indépendamment de la personne de son auteur. A l’évidence, Berque, garde ma confiance, je sais de quoi je parle, puisque je le cite et je le souligne, donc j’en fais ma thèse….. à mon infortune, je constate, dans nos discussions, que la primauté du « préjugé » l’emporte encore sur le diagnostic: Ibn Rochd est ceci, GHAZALI, est cela, Oulfa Youssef est une conne, Mohamed Talbi est un intellectuel, les orientalistes des chevaux de Troie, ...
j'ai toujours dit que je suis un éclectique, je sélectionne les formulations des idées non pas au hasard, mais parce qu'elles me conviennent. le modernisme, c'est ça.
J'ai feinté te répondre la première fois, par pure amitié et pour ne pas céder à la colère, (qui peut être mauvaise conseillère), mais à mon tour je jette l'éponge, j'estime que le débat n'est pas mur.
et comme ce n'est qu'un débat et rien d'autre qu'un débat, j'en reste là, ça m'évitera des insultes supplémentaires.
Je plagie mes sentiments, pour te saluer comme il se doit.
on en reparlera le jour ou tu cesseras de disputer les personnes au lieu de discuter les idées, en l’occurrence, discuter ce texte indépendamment de la personne de son auteur. A l’évidence, Berque, garde ma confiance, je sais de quoi je parle, puisque je le cite et je le souligne, donc j’en fais ma thèse….. à mon infortune, je constate, dans nos discussions, que la primauté du « préjugé » l’emporte encore sur le diagnostic: Ibn Rochd est ceci, GHAZALI, est cela, Oulfa Youssef est une conne, Mohamed Talbi est un intellectuel, les orientalistes des chevaux de Troie, ...
j'ai toujours dit que je suis un éclectique, je sélectionne les formulations des idées non pas au hasard, mais parce qu'elles me conviennent. le modernisme, c'est ça.
J'ai feinté te répondre la première fois, par pure amitié et pour ne pas céder à la colère, (qui peut être mauvaise conseillère), mais à mon tour je jette l'éponge, j'estime que le débat n'est pas mur.
et comme ce n'est qu'un débat et rien d'autre qu'un débat, j'en reste là, ça m'évitera des insultes supplémentaires.
Je plagie mes sentiments, pour te saluer comme il se doit.
Malheureux, les pays qui ont besoin de héros
absolument felten,on en reparlera le jour où tu auras des idées à toi,je les discuterai avec plaisir.
en attendant et pour ma plus grande désillusion,tu restes un copieur-colleur sans idées.
(ton premier message dans ce sujet,etait un plagiat d'un site catholique extrémiste,cela veut tout dire!)
merci d'avoir retenu ta colère contre moi,mais je t'ai vu à l'oeuvre sur le site avec un pseudo different.
en attendant et pour ma plus grande désillusion,tu restes un copieur-colleur sans idées.
(ton premier message dans ce sujet,etait un plagiat d'un site catholique extrémiste,cela veut tout dire!)
merci d'avoir retenu ta colère contre moi,mais je t'ai vu à l'oeuvre sur le site avec un pseudo different.
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- Location: Megrine
Hier un cheikh sur une chaine de télévision du golf, disant un peu progressiste, ironisé sur la situation désastreuse de la femme dans sa société en racontant l’histoire suivante ;
« Une femme en marchant dans une rue a reconnu son marie parmi la foule, elle se rapproche de lui et lui adresse la parole, le marie n’a pas apprécie le fait que sa femme lui parle dans un lieu publique, il l’accuse qu’elle a l’habitude de parler avec des hommes dans la rue et ensuite il la répudie. »
C’est inconcevable, même comme blague je ne l’apprécierais jamais, ce n’est pas pcq je suis tunisien pro-csp que je dis ça mais en tant qu’un musulman libéral qui espère une révolution dans une société musulmane que l'on dit promise à un intégrisme triomphant.
« Une femme en marchant dans une rue a reconnu son marie parmi la foule, elle se rapproche de lui et lui adresse la parole, le marie n’a pas apprécie le fait que sa femme lui parle dans un lieu publique, il l’accuse qu’elle a l’habitude de parler avec des hommes dans la rue et ensuite il la répudie. »
C’est inconcevable, même comme blague je ne l’apprécierais jamais, ce n’est pas pcq je suis tunisien pro-csp que je dis ça mais en tant qu’un musulman libéral qui espère une révolution dans une société musulmane que l'on dit promise à un intégrisme triomphant.
je pense que ce sujet n'a plus d'avenir désormais! entre felten qui nous découpe des pans entiers de textes d'auteurs sans aucun interet ni rapport avec notre sujet,et baldaquino qui nous importe une certaine démagogie et rethorique que je croyais abondonnées dans les commentaires sur les articles du site,honnêtement l'envie n'y est plus.
alors je vous dis hasta la vista!faites de ce sujet ce que bon vous semble.
alors je vous dis hasta la vista!faites de ce sujet ce que bon vous semble.
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Ma dernière intervention n’était qu’une introduction, que j’espérais être légère et apaisante, sur le thème « la situation désastreuse de la condition de la femme musulmane » que leila a mis comme premier point de discussion.
Puisque le débat est supposé s’arrêter ici, je dirais pour finir que les lois musulmanes régissant le statu de la femme ou tout autre aspect de la société ne sont en aucun cas absolues mais elles évoluent au fur et a mesure des changements que connait la société, la mise a jour si on peut dire de ces lois se fait grâce à une interprétation évolutive du texte sacré et il sera ainsi même dans 10.000 ans.
les chrétiens ont du renier leur foi pour se libérer de certaines lois religieuses accablantes qui ne s’alignaient plus avec les changements drastiques qu’a connu la société chrétienne dans les 2 derniers siècles, d’autre part l’immobilisme de la religion chrétienne, surtout de catholicisme, a donné naissance à la pensée laïque qui est devenue actuellement la première religion en occident.
Chez nous la crise prend aussi source dans l’immobilisme qui a affecté la pensée islamique, cet ‘immobilisme remonte au Xe siècle, quand l’ijtihad a été mis au ban.
A ce point c’est bien logique de se demander si l’islam risque t-il le même sort que le christianisme, si non qu’est qui empêchera une telle débâcle ?
Puisque le débat est supposé s’arrêter ici, je dirais pour finir que les lois musulmanes régissant le statu de la femme ou tout autre aspect de la société ne sont en aucun cas absolues mais elles évoluent au fur et a mesure des changements que connait la société, la mise a jour si on peut dire de ces lois se fait grâce à une interprétation évolutive du texte sacré et il sera ainsi même dans 10.000 ans.
les chrétiens ont du renier leur foi pour se libérer de certaines lois religieuses accablantes qui ne s’alignaient plus avec les changements drastiques qu’a connu la société chrétienne dans les 2 derniers siècles, d’autre part l’immobilisme de la religion chrétienne, surtout de catholicisme, a donné naissance à la pensée laïque qui est devenue actuellement la première religion en occident.
Chez nous la crise prend aussi source dans l’immobilisme qui a affecté la pensée islamique, cet ‘immobilisme remonte au Xe siècle, quand l’ijtihad a été mis au ban.
A ce point c’est bien logique de se demander si l’islam risque t-il le même sort que le christianisme, si non qu’est qui empêchera une telle débâcle ?
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La théorie, c'est quand on comprend tout mais que rien ne fonctionne;
La pratique c'est quand tout fonctionne mais que l'on ne sait pas pourquoi.
baldaquino,tant que j'ignore de quel changement il s'agit,comment pourrais-je discuter?
je ne sais pas si tu as déjà jeter un coup d'oeil sur les autres sujets similaires dans ce forum,tout le monde veut changer mais personne n'ose ou ne peut dire quoi.
ensuite quel est ce besoin de réinterpreter le coran,quand nos gouvernements peuvent enoncer des lois independament de l'islam,ce qu'Ils font tous d'ailleurs,quelle est la logique de vouloir changer et chercher en même temps une légitimité dans l'objet même de ce changement?
ce sont les mentalités qui doivent changer,eduquer les gens et les instruire,mais cela on peut toujours attendre,les gouvernements des pays dits musulmans préfèrent entretenir le flou pour laisser la populasse dans l'ignorance,la confusion ne vient pas de ce que les gens confondent islam et droit musulman,ils confondent plutôt islam et traditions patriarchales obsolètes,la majorité ne connaissent pas leur religion pour soupçonner l'existence même du droit musulman.
l'islam ne connaitra pas le sort du catholicisme,car l'islam est une religion dynamique non seulement par son évolution naturelle mais aussi par ses conversions et malgré qu'il n'existe de nos jours aucun pays régit par l'islam(l'iran et le soudan n'etant pas des modèles,autant que l'arabie saoudite) et malgré l'absence d'un clérgé puissant et organisé comme celui de l'église,nous continuons a gagner du terrain sur toutesl es autres religions.
la condition de la femme dans le monde musulman ne changera qu'avec le changement des mentalités et ça n'a rien à voir avec l'islam.
je ne sais pas si tu as déjà jeter un coup d'oeil sur les autres sujets similaires dans ce forum,tout le monde veut changer mais personne n'ose ou ne peut dire quoi.
ensuite quel est ce besoin de réinterpreter le coran,quand nos gouvernements peuvent enoncer des lois independament de l'islam,ce qu'Ils font tous d'ailleurs,quelle est la logique de vouloir changer et chercher en même temps une légitimité dans l'objet même de ce changement?
ce sont les mentalités qui doivent changer,eduquer les gens et les instruire,mais cela on peut toujours attendre,les gouvernements des pays dits musulmans préfèrent entretenir le flou pour laisser la populasse dans l'ignorance,la confusion ne vient pas de ce que les gens confondent islam et droit musulman,ils confondent plutôt islam et traditions patriarchales obsolètes,la majorité ne connaissent pas leur religion pour soupçonner l'existence même du droit musulman.
l'islam ne connaitra pas le sort du catholicisme,car l'islam est une religion dynamique non seulement par son évolution naturelle mais aussi par ses conversions et malgré qu'il n'existe de nos jours aucun pays régit par l'islam(l'iran et le soudan n'etant pas des modèles,autant que l'arabie saoudite) et malgré l'absence d'un clérgé puissant et organisé comme celui de l'église,nous continuons a gagner du terrain sur toutesl es autres religions.
la condition de la femme dans le monde musulman ne changera qu'avec le changement des mentalités et ça n'a rien à voir avec l'islam.
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La condition de la femme dans le monde musulman aujourd'hui n'est qu'un détail de la condition de l'Homme, de la société et de la religion elle-même qui est délaissée. Quand je dis "délaissée", je ne parle du niveau général de la croyance ou de la pratique des musulmans, ceci n'est qu'une conséquence du vrai problème qui est l'absence de vrais savants adaptés à cette époque. Avant les oulemas étaient en même temps philosophe, mathématiciens, médecins, astronautes... Aujourd'hui, il est facile de trouver des gens qui connaissent le coran et les hadith par coeur, mais ils sont incapable de résoudre un simple problème qui n'est pas cités dans les chefs d'oeuvres des oulemas du Xeme siècle. Pour revenir au problème de la condition, croyez-vous que l'homme bénéficie de meilleure conditions, je ne pense pas, regardez à quels point nos hommes ils sont ignorants, entre ceux qui connaissent rien dans la religion, et ceux qui s'attachent trop aux détails ( barbes, voile, niqab, les traces au front, ...) au point d'oublier les bases de la religion, sans oublier qui sont devenu du jour au lendemain des savants. On sait, par exemple qu'en Tunisie, la majorité des imams sont des retraités sans une vraie formation religieuse.
Si on veut améliorer les conditions de la femme musulmane, répondons nous d'abord à ce toute question: voulons nous de l'islam comme religion qui gère notre vie? parce que j'ai l'impression de qu'on ne sait toujours quoi dire à ce propos, on divisé entre nos racines et le mode de vie importés de par tout. Il faut faire comprendre aux gens que l'islam est une religion dynamique et elle l'était même à l'époque du Prophète Mohamed ( exemple: l'interdiction du vin).C'est à ce moment là qu'il faut penser à former un clergé qui aura pour rôle de discipliner les musulmans ( il faut dire qu'en ce moment, c'est un vrai bordel, désolé pour le mot).
Si on veut améliorer les conditions de la femme musulmane, répondons nous d'abord à ce toute question: voulons nous de l'islam comme religion qui gère notre vie? parce que j'ai l'impression de qu'on ne sait toujours quoi dire à ce propos, on divisé entre nos racines et le mode de vie importés de par tout. Il faut faire comprendre aux gens que l'islam est une religion dynamique et elle l'était même à l'époque du Prophète Mohamed ( exemple: l'interdiction du vin).C'est à ce moment là qu'il faut penser à former un clergé qui aura pour rôle de discipliner les musulmans ( il faut dire qu'en ce moment, c'est un vrai bordel, désolé pour le mot).
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Mais pour changer Les mentalités il faut opérer un changement préalable dans notre approche de l’islam car la religion influence sur la mentalité individuelle et collective dans une société et si notre approche de la religion est « dure », comme c’est le cas actuellement, la mentalité en sera influencée négativement. L’approche que nous faisant de l’islam se caractérise par une orthodoxie qui s’est ancrée dans nos habitudes et nos traditions que vous jugez obsolètes ce qui fait que nous ayons cette mentalité décadente et incohérente avec l’époque actuelle qui en l’occurrence ne manque pas de défis tel que la conciliation d’une croyance religieuse et d’une scientificité laïque. Réussir à surmonter ces défis suppose l’existence d’une élite (dont la culture va bien au delà du cadre religieux) capable de fournir l’effort nécessaire et avoir les capacités adéquates pour déceler les failles dans la société musulmane et provoquer un changement dans les mentalités tout en espérant que les idées émanant de cette élite ne se dissiperons pas devant la résistance dure de la part de l’orthodoxie musulmane comme cela fut le cas à plusieurs reprises. C’est d’ailleurs cette orthodoxie qui confonde islam et droit ou plutôt coran et chari3a.leila wrote:baldaquino,tant que j'ignore de quel changement il s'agit,comment pourrais-je discuter?
je ne sais pas si tu as déjà jeter un coup d'oeil sur les autres sujets similaires dans ce forum,tout le monde veut changer mais personne n'ose ou ne peut dire quoi.
ensuite quel est ce besoin de réinterpreter le coran,quand nos gouvernements peuvent enoncer des lois independament de l'islam,ce qu'Ils font tous d'ailleurs,quelle est la logique de vouloir changer et chercher en même temps une légitimité dans l'objet même de ce changement?
ce sont les mentalités qui doivent changer,eduquer les gens et les instruire,mais cela on peut toujours attendre,les gouvernements des pays dits musulmans préfèrent entretenir le flou pour laisser la populasse dans l'ignorance,la confusion ne vient pas de ce que les gens confondent islam et droit musulman,ils confondent plutôt islam et traditions patriarchales obsolètes,la majorité ne connaissent pas leur religion pour soupçonner l'existence même du droit musulman.
l'islam ne connaitra pas le sort du catholicisme,car l'islam est une religion dynamique non seulement par son évolution naturelle mais aussi par ses conversions et malgré qu'il n'existe de nos jours aucun pays régit par l'islam(l'iran et le soudan n'etant pas des modèles,autant que l'arabie saoudite) et malgré l'absence d'un clérgé puissant et organisé comme celui de l'église,nous continuons a gagner du terrain sur toutesl es autres religions.
la condition de la femme dans le monde musulman ne changera qu'avec le changement des mentalités et ça n'a rien à voir avec l'islam.
Pour changer les mentalités, un travail de fond doit être accompli et ce travail s’opère en grande partie à partir de la religion. Dans la société musulmane d’aujourd’hui on prône la forme sur le fond, l’islam pour nous est surtout un hijab et une barbe, les musulmans doivent connaitre que dans l’islam la foi est plus importante que la forme et comprendre ainsi qu’une femme non voilée et dont la foi en l’unicité d’« Allah » est inébranlable est une musulmane à part entière. Le projet de changement (que les orthodoxes et les traditionalistes essayent d’étouffer) cherche à combattre l’ignorance et l’injustice ainsi que les préjugés et les stéréotypes pour favoriser l’émergence d’une société musulmane ouverte qui soit à l’image de l’esprit de l’islam tolérant plutôt qu’a l’image de l’islam des origines.
Oui l’islam ne connaitra pas le sort de catholicisme mais il est confronté aux mêmes problèmes. L’islam aujourd’hui est dans les mêmes conditions que dans les premiers siècles après sa naissance, l’islam minoritaire en Europe ou en Amérique ou en Australie est dans la même situation que 12 siècles en arrière en Asie centrale ou au Maghreb et se retrouve ainsi dans l’obligation de se défendre contre tant de peuples et de civilisations différentes. Le péril que court l’islam vient plus précisément des athées et non pas de christianisme ou autre religion, ces athées pensent que le coran ne contient pas d’arguments logiques convaincants. Ils sont persuadés que lorsque La raison humaine arrive à maturité elle est capable d’atteindre les vérités sans révélation et ils s’appuient sur la raison dans leur vie morale et sociale. Devant un tel danger les musulmans ont décidés que mieux vaut faire taire la raison et la taxer d’impuissance plutôt que recourir à la raison pour soutenir le coran par des arguments logiques.
pour un sujet qui n a plus d avenir,il a bien la bougeote ces dernieres 24hjouda wrote:je pense que ce sujet n'a plus d'avenir désormais!.
allons juju,c ton sujet apres tout,tu va pas l abondonner a son sort comme ca!
leila est revenue sur sa parole,et je sais que felten pas rancunier pour 2 sous reviendra egalement,mais galant comme il est,il s est dit:"les dames d abord" donc ce sera apres toi juju
ce n'est pas mon sujet ritchie,il est à babnet.
je n'ai rien contre felten et baldaquino,on peut discuter de beaucoup de choses,de sport,de musique...etc...mais pas de religion car nous ne sommes pas sur la même longueur d'ondes,ils veulent changer mais ne savent pas quoi,on leur demande et redemande et toujours rien,et plus le debat s'éternise plus la discussion devient agressive,brabbi de quoi je vais parler avec felten s'il doute de la sounna et fait de la thèse de jaques berque la sienne et dit que seul le coran l'engage?la discussion s'arrête là pour moi,brabbi j'aimerais bien savoir comment il fait la prière s'il ne l'a pas apprise de la sounna?qu'on aille me chercher comment faire la prière dans le coran et combien de fois par jour,il ne trouvera rien.
mohamed etait un homme certes,mais pas n'importe quel homme,si le coran est la parole de Dieu, la parole de mohamed est inspirée par Dieu et elle est loi !!!!! il ne parlait pas comme ça en l'air!!!ilne faut pas prendre à la légère ce genre de choses.
baldaquino aussi je n'ai absolument rien contre lui,et c'est même moi qui a demandé à leila de l'inviter dans le forum pour limiter le parasitage des gens qui viennent rien que pour insulter.
baldaquino admet que la religion est assez mal comprise,jusqu'a là nous sommes d'accord,mais pour lui la solution serait de changer une partie de la religion au lieu d'offrir une meilleure éducation aux musulmans pour qu'ils comprennent plus intelligemment leur foi,ensuite je ne comprends pas pourquoi il veut changer une chari3a qui n'est appliquée nulle part,sauf dans des pays en guerre et des pays bizarre qui n'ont de musulman que le nom,pourquoi changer la loi de Dieu si on peut changer celle des hommes et l'adapter aux besoins des gens?
pourquoi réecrire le coran au lieu de reformer le systéme éducatif et faire en sorte que les gens deviennent plus instruits et prennent conscience d'eux même?
tout ça pour te dire que ce genre de discussion ne mène à rien!brabbi fais un tour dans les autres sujets et tu verras que ce sont toujours les mêmes critiques mais sans que jamais,au grand jamais quelqu'un nous propose quelque chose de concret dans ce qu'il veut changer,et quand on demande directement un seul éxemple,c'est le flou total et on nous depeigne une situation alarmiste du monde musulman,de la condition de la femme,et je t'en donne des banalités et je te rajoute des generalités,et 7il issorra tal9a khit!!!
voila pourquoi,les polémiques sur la religion c'est fini,on pourra parler de religion entre musulmans mais pas avec des gens qui veulent m'imposer une philosophie que je refuse et que je rejette,je n'ai jamais demandé à quelqu'un de suivre mon mode de vie ni de se convertir à ma religion, ni de porter mon voile et j'ose demander qu'en retour personne ne vienne me casser la tête avec des idées même pas claires dans leurs propres têtes.
à part ça,on peut discuter de tout!!!!
je n'ai rien contre felten et baldaquino,on peut discuter de beaucoup de choses,de sport,de musique...etc...mais pas de religion car nous ne sommes pas sur la même longueur d'ondes,ils veulent changer mais ne savent pas quoi,on leur demande et redemande et toujours rien,et plus le debat s'éternise plus la discussion devient agressive,brabbi de quoi je vais parler avec felten s'il doute de la sounna et fait de la thèse de jaques berque la sienne et dit que seul le coran l'engage?la discussion s'arrête là pour moi,brabbi j'aimerais bien savoir comment il fait la prière s'il ne l'a pas apprise de la sounna?qu'on aille me chercher comment faire la prière dans le coran et combien de fois par jour,il ne trouvera rien.
mohamed etait un homme certes,mais pas n'importe quel homme,si le coran est la parole de Dieu, la parole de mohamed est inspirée par Dieu et elle est loi !!!!! il ne parlait pas comme ça en l'air!!!ilne faut pas prendre à la légère ce genre de choses.
baldaquino aussi je n'ai absolument rien contre lui,et c'est même moi qui a demandé à leila de l'inviter dans le forum pour limiter le parasitage des gens qui viennent rien que pour insulter.
baldaquino admet que la religion est assez mal comprise,jusqu'a là nous sommes d'accord,mais pour lui la solution serait de changer une partie de la religion au lieu d'offrir une meilleure éducation aux musulmans pour qu'ils comprennent plus intelligemment leur foi,ensuite je ne comprends pas pourquoi il veut changer une chari3a qui n'est appliquée nulle part,sauf dans des pays en guerre et des pays bizarre qui n'ont de musulman que le nom,pourquoi changer la loi de Dieu si on peut changer celle des hommes et l'adapter aux besoins des gens?
pourquoi réecrire le coran au lieu de reformer le systéme éducatif et faire en sorte que les gens deviennent plus instruits et prennent conscience d'eux même?
tout ça pour te dire que ce genre de discussion ne mène à rien!brabbi fais un tour dans les autres sujets et tu verras que ce sont toujours les mêmes critiques mais sans que jamais,au grand jamais quelqu'un nous propose quelque chose de concret dans ce qu'il veut changer,et quand on demande directement un seul éxemple,c'est le flou total et on nous depeigne une situation alarmiste du monde musulman,de la condition de la femme,et je t'en donne des banalités et je te rajoute des generalités,et 7il issorra tal9a khit!!!
voila pourquoi,les polémiques sur la religion c'est fini,on pourra parler de religion entre musulmans mais pas avec des gens qui veulent m'imposer une philosophie que je refuse et que je rejette,je n'ai jamais demandé à quelqu'un de suivre mon mode de vie ni de se convertir à ma religion, ni de porter mon voile et j'ose demander qu'en retour personne ne vienne me casser la tête avec des idées même pas claires dans leurs propres têtes.
à part ça,on peut discuter de tout!!!!