ça,tu me le payeras cher stormy on reglera nos comptes après le bacstormbringer wrote: lui au moins n est pas un mnattef comme le mec de jouda,!
mon mec le mnattif finira grand directeur chez attijari bank si tu veux savoir!!!!!
ça,tu me le payeras cher stormy on reglera nos comptes après le bacstormbringer wrote: lui au moins n est pas un mnattef comme le mec de jouda,!
j'ai sélectionné 4 livres dont un est un non-évènement mais comme je l'ai acheté je vous en parlerai.
La mention et rien d'autre, you can it!!!pour la mention,je dois revoir mes ambitions à la baisse,je serai einstein si j'arrive a avoir 14 de moyenne,et pour jouda n'en parlons même pas!!!!! Crying or Very sad
ne la crois pas felten,moi je suis bien certaine et décidée a avoir la moyenne pour laquelle j'ai bossé comme une folle toute l'année:15 avec l'aide de Dieu.felten wrote:La mention et rien d'autre, you can it!!!pour la mention,je dois revoir mes ambitions à la baisse,je serai einstein si j'arrive a avoir 14 de moyenne,et pour jouda n'en parlons même pas!!!!! Crying or Very sad
ça ne me regarde pas, tu es en droit de le me dire, je te le concède volontiers, mais je ne peux pas m'empêcher de saisir ce coté à la fois "rabat joie" et tragique, que tu distilles à travers tes commentaires.Y'as pas de koi etre fiere ya jouda, surtout pour un pareil boulot...
cher feltenfelten wrote:ça ne me regarde pas, tu es en droit de le me dire, je te le concède volontiers, mais je ne peux pas m'empêcher de saisir ce coté à la fois "rabat joie" et tragique, que tu distilles à travers tes commentaires.Y'as pas de koi etre fiere ya jouda, surtout pour un pareil boulot...
J'ai à priori beaucoup de sympathie à ton égard, (car ton fond est fait de bonté matrétielle), mais cet ascétisme et cette austérité, qui te caractérisent, peuvent être ton choix assumé, exportés, ils te desservent fortement. (du moins, je le pense).
Tu as manifestement une grande culture(+ numérique! ), , mais la modestie, veut que les expériences des uns ne sont d'aucune efficacité pour les autres.
Chacun a le droit à ce foutu "droit à l'erreur" pour parfaire son propre parcours.
Voyons c'est quoi cette amertume??? Laisses toi vivre un peu( si ça te chante), mais surtout laisses vivre les autres.
ya jouda pas une banque kan meme, il ya dix milles autre boulots plus "nets" que ca!jouda wrote:pourquoi joujou? pour le moment il est encore etudiant!joujou wrote:Y'as pas de koi etre fiere ya jouda, surtout pour un pareil boulot...jouda wrote:mon mec le mnattif finira grand directeur chez attijari bank si tu veux savoir!!!!! [/i][/color]
Joujou,Vcher felten
je comprends tout a fait ton sentiment et j'aurais surement eu la meme reaction a ta place. d'ailleurs je saisis cette opportunité pour t'exprimer mon respect pour ta personne meme si nos echanges n'ont ete que tres brefs.
pour ce qui de mes reponses, tu remarqueras qu'elles varient en style et en longueur avec la personne que je cite, et dans ce cas particulier, jouda est une "vieille" connaissance de ce forum et ca fait bien longtemps que je ne prends plus de gants quand je lui reponds et reciproquement, idem pour leila, ritchie, imed, stormy etc etc.
d'ailleurs, jouda aurait surement repondu a ta maniere a un inconnu, mais ce n'etait pas le cas.
sinon pour ma grande culture, tu te trompe lourdement car je n'en ai aucune ou presque (et ce n'est pas de la fausse modestie), et pour ma bonte interieure, je suis pas vraiment un exemple a suive et wallahi ce n'est pas de la fausse modestie, et enfin pour ce droit a l'erreur, il est aquis a chacun, mais je suis certain que nul en son fort interieur ne souhaite faire d'erreurs qu'il regretteras par la suite, sinon a quoi bon avoir des amis, des parents, des maitres si ce n'est pour nous dire comment ne pas se tromper..
Il y a trois ans, Harry Vaandrager, petit-cousin du poète rotterdamois Cornelis Bastiaan Vaandrager, a lancé Pessoa, sa librairie en ligne, sur le site Boekwinkeltjes.nl. Celui-ci, créé en 2002 par Eric Kaizer, est entre-temps devenu un des plus grands marchés virtuels du livre aux Pays-Bas. Le concept est simple : on loue une boutique virtuelle, le prix à payer dépend de la quantité de volumes qu’on propose. Il varie de 1 euro par mois pour 50 livres à 75 euros pour 50 000. A la différence de ce qui se passe sur d’autres sites connus pour les bouquins d’occasion, comme Used.addall.com et Antiqbook.com, l’offre des particuliers a ici droit de cité. A l’heure actuelle, le site recense environ 5 000 vendeurs. Plus de 3,6 millions de volumes y sont disponibles, et il enregistre chaque jour des milliers de ventes. Boekwinkeltjes.nl intervient aussi sur les marchés français, belge et britannique. Non seulement un site comme Boekwinkeltjes montre ce qu’Internet peut apporter comme valeur ajoutée, mais il nuance le tableau d’une prétendue culture du best-seller. Depuis des années, on se plaint du règne d’une monoculture littéraire, qui fait que tout le monde lit les mêmes livres tandis que des œuvres moins accessibles tombent dans l’oubli. “Chaque ouvrage doit être classé dans la liste des dix meilleures ventes, et la vitesse de rotation est élevée. On peut le comprendre, car éditeurs et libraires doivent gagner de l’argent. Voilà pourquoi ils sont toujours à la recherche d’un best-seller”, affirme Dick Schram, professeur qui étudie le comportement de lecture à la Vrije Universiteit, à Amsterdam. Pour lui, un site comme oekwinkeltjes.nl fait contrepoids cette évolution. Un bon moyen pour faire de la place chez soi Harry Vaandrager n’a pas constaté non plus l’existence d’une culture du best-seller. “On parle d’abandon de la lecture ou d’abêtissement. On utilise ce genre de termes depuis des années pour parler de l’état de la littérature. Curieusement, maintenant que je n’ai plus 20 ans, j’ai moi aussi tendance à clamer que la culture livresque va mal. Les enfants dans l’enseignement secondaire ne savent plus qui est Leopold [poète néerlandais de la fin du XIXe siècle]. D’un autre côté, je constate grâce à Boekwinkeltjes qu’il existe encore des gens sérieux qui s’intéressent aux bons livres. Et parmi eux, on compte aussi des jeunes. Récemment, j’ai vendu du Beckett à un gars de 22 ans”, explique-t-il. Une des principales raisons qui l’a incité à ouvrir sa boutique en ligne était qu’il voulait faire de la place dans sa propre bibliothèque. Harry Vaandrager – qui met en pratique la maxime : “En faire le moins possible, en dehors de lire et d’aimer” – propose 5 000 livres sur le site et en vend environ 5 par jour. “Je pourrais aussi bien en proposer 15 000, mais au-dessus de 5 000, il faut s’inscrire à la chambre de commerce et payer des impôts. Là, c’est comme si je mettais en vente mon vieux vélo.” Pieter Bol, médecin épidémiologiste et journaliste scientifique indépendant, vend depuis environ cinq ans des livres sur Boekwinkeltjes.nl. Il propose à peu près 600 livres, et son appartement en contient plus de 6 000. Tout comme pour Harry Vaandrager, c’est le manque de place qui est sa principale motivation. Il a essayé de vendre ses bouquins sur un marché aux livres d’occasion, mais sans grand succès. C’est Boekwinkeltjes qui lui a donné la solution. Des bibliothèques remplies de livres se dressent partout chez lui. Il a baptisé “la boutique” l’escalier qui mène vers le troisième étage de son appartement. Des auteurs oubliés retrouvent droit de cité Sur les premières marches sont classés les écrivains qui commencent par A, sur les suivantes par B, et ainsi de suite. Dans la chambre appelée “la bibliothèque” est regroupée la littérature sud-africaine, une inclination de Pieter Bol, qui parle aussi l’afrikaans. Ces livres ne sont pas à vendre, pas plus que sa vaste collection de récits de voyage – des livres sur les explorations portant des titres qui stimulent l’imagination, comme The Desert Road to Turkestan [La route du désert vers le Turkestan] et Als koelie vermomd naar Tibet [Déguisé en coolie pour aller au Tibet]. Il vend environ 150 livres par an. “C’est vraiment surprenant ce que les gens demandent. Certains livres sont sur le site depuis des années, on se dit qu’on ne va jamais les vendre. Et soudain, on reçoit en une semaine vingt fois la même demande.” C’est ce qui est arrivé pour le livre de Frederic Bastet, Helse liefde [Un amour infernal], essai biographique sur Marie d’Agoult, Frédéric Chopin, Franz Liszt et George Sand. “On y avait fait allusion dans un article du NRC Handelsblad, je crois, d’où ce grand intérêt”, explique-t-il. Même sans ce genre d’occasion, Pieter Bol reçoit de singulières demandes. “Ce que les gens commandent est imprévisible. Brusquement, quelqu’un s’intéresse à des écrits anarchistes de la fin du XIXe siècle, de Kropotkine ou de Bakounine. Le type de clientèle, en revanche, est assez constant. La plupart des acheteurs ont un haut niveau d’éducation et des moyens financiers, et ils vivent dans les bons quartiers des grandes villes”, note-t-il.
Tjibbe van der Ploeg tient un magasin de livres d’occasion depuis plus de vingt ans. Lors du lancement de Boekwinkeltjes.nl sur la Toile, il lui a paru logique de voir s’il pouvait aussi faire des affaires en ligne. Il propose à présent environ 7 000 livres dans sa vitrine virtuelle. “La vente marche mieux qu’avant. Mais je vois beaucoup moins de gens fureter, une liste de livres à la main, dans des boutiques de livres d’occasion l’après-midi à Amsterdam”, dit-il dans son étroite boutique, Verglheden, située dans le quartier du Nieuwmarkt, à Amsterdam. Il reçoit lui aussi régulièrement des demandes qui sont tout sauf conventionnelles. Souvent, elles viennent d’un regain d’intérêt pour un livre, comme dans le cas du Liseur de Bernhard Schlink, dont on s’est inspiré pour un film [sur les écrans français depuis le 15 juillet]. Certains ouvrages auxquels personne n’accorde d’attention suscitent brusquement un regain d’intérêt. Un livre de Herman de Man [écrivain néerlandais mort en 1946], par exemple : De barre winter van negentig [Le rude hiver de 1890]. Puis il y a les classiques tels que Les Hauts de Hurlevent, qui continuent de plaire, affirme-t-il. D’après lui, Internet a ouvert le marché du livre d’occasion. “Des gens qui ne seraient jamais allés dans une boutique de livres anciens me trouvent sur la Toile. Je fais de bien meilleures ventes par l’intermédiaire de Boekwinkeltjes.nl : environ quatre livres par jour. On peut dire que cela favorise la diversité du goût littéraire, bien qu’on constate simultanément une très forte demande pour les mêmes livres sur le site. Pour les oeuvres de Shakespeare, par exemple. Mais il y a toujours quelqu’un qui cherche une traduction datant de 1930.”
alors ritchie,tu as aimé?ce qui m'a personnellement irrité dans ce livre c'est la façon de l'auteur de vouloir se justifier toutes les deux pages qu'il parlait en connaissance de cause et qu'il décrivait des situations de son vecu en tant que libanais,et je ne suis pas du tout d'accord avec lui sur les causes de la décadences arabo-musulmane mais pour les consequences on ne peut que lui donner raison malheureusement.ritchie wrote:suivant le conseil de leila,je me suis procuré le dereglement du monde du libanais amin maalouf.
a defaut de conflit de civilisations l auteur nous propose une autre hypothese celle de la fin des civilisations,point de vue tres interessant.
j en parlerai quand j aurais fini le bouquin.
ce n est pas l avis de mohamed charfi leila,naccache etait chef de bande en prison et menait la vie dure a certains de ses codetenus musulmans qui n etait pas d accord avec lui sur la guerre de 67 en palestine.jeté en prison pendant onze longues années,onze longues années de tortures physique quasi quotidienne et une torture morale de toutes les heures notre auteur est de confession juive mais tunisien jusqu'au bout des ongles
non,l'agression sioniste sur la palestine en 67 n'etait pas la cause de leur different,d'ailleurs naccache avait refusé au debut de signer le manifeste sorti au nom de leur parti,le problème c'est que charfi commencait a comploter et a monter des intrigues contre ses camarades en écrivant en secret à bourguiba qui d'ailleurs l'avait vite fait liberer (après une année seulement contre onze pour naccache) pour en faire l'un de ses ....biographe...on connaît la suite de l'itiniraire de charfi(je sens que je vais m'attirer les foudres de felten )ritchie wrote:ce n est pas l avis de mohamed charfi leila,naccache etait chef de bande en prison et menait la vie dure a certains de ses codetenus musulmans qui n etait pas d accord avec lui sur la guerre de 67 en palestine.jeté en prison pendant onze longues années,onze longues années de tortures physique quasi quotidienne et une torture morale de toutes les heures notre auteur est de confession juive mais tunisien jusqu'au bout des ongles