oui joujou et c'est l'avenir,beaucoup de musulmans y ont adhéré.joujou wrote:NPA=Nouveau Parti Anticapitaliste???
le parti a besancenot?
j'essaie de convaincre lalu mais elle est têtue.
joujou et moi,nous sommes dans un parti qu'on ne quittera pas pour tout l'or du monde,et tu es aussi la bienvenuealine wrote:oui joujou et c'est l'avenir,beaucoup de musulmans y ont adhéré.joujou wrote:NPA=Nouveau Parti Anticapitaliste???
le parti a besancenot?
j'essaie de convaincre lalu mais elle est têtue.
joujou est UMP?leila wrote:joujou et moi,nous sommes dans un parti qu'on ne quittera pas pour tout l'or du monde,et tu es aussi la bienvenuealine wrote:oui joujou et c'est l'avenir,beaucoup de musulmans y ont adhéré.joujou wrote:NPA=Nouveau Parti Anticapitaliste???
le parti a besancenot?
j'essaie de convaincre lalu mais elle est têtue.
n'est ce pas joujou?
Aline, en regle generale, le musulman comme le chretien est plus a meme d'adherer a un parti de droite, ou tout du moins de centre droit qu'a un parti de gauche au vu des valeurs communes de respect de la morale (chretienne ou musulmane, il n y a que peu de differences) et de relations avec l'argent en general.aline wrote:oui joujou et c'est l'avenir,beaucoup de musulmans y ont adhéré.joujou wrote:NPA=Nouveau Parti Anticapitaliste???
le parti a besancenot?
j'essaie de convaincre lalu mais elle est têtue.
Merci Aline pour la chaleur de ton invitation. Je ne connaissais pas ce passage, mais j'ai eu l'occasion d'en parler avec ses promoteurs. J'appartiens, contrairement à d'autres, (suivez mon regard ) aux valeurs de la gauche plurielle: "l'Olivier": Ce rassemblement né en Italie dans le prolongement du "compromiso hostorico", n'est pas très présent en France, à cause de la domination écrasante du PS. En effet la convergence rouge-verte, correspond au mieux à mon idéale de solidarité et de justice sociale sans compromettre le futur. Donc un progrès raisonné et responsable. L'alter mondialisation mobilise, à coté de la gauche non classique, beaucoup des chrétiens de gauche, des amis de la terre,....des mouvements de citoyens. Le NPA est très présent et contribue à l'animation de ce mouvement.salut felten,tu as frappé à la bonne porte,voici justement une partie du texte fondateur du NPA,c'est dire l'importance de l'écologie pour nous:
Moralité:rien ne sert de courir,il faut arriver à point et ne pas brûler les étapes et se projetter dans un monde qui nous est inconnu pour copier les autres sans passer par les evenenements historiques et le parcours obligé de cette autre civilisation.Valeureux et preux guerrier de l'an de grâce 1123, le comte Godefroy de Montmirail et son écuyer Jacquouille la Fripouille font un bond dans le temps, à la suite d'une bévue du sorcier Eusaebius,et se retrouvent quelques siècles plus tard, sur une autoroute moderne, c'est un sacré "binz" : les "chariottes" sur l'autoroute "puiirent", et les "petits-petits fillots" ne sont pas ce qu'ils devraient être. Alors "okay" : place à ces visiteurs qui ne sont pas nés d'hier !
Bonjour Intfadha,autre moralité,si vous croyez qu'on veut revenir dans le temps quelques siecles en arrières et nous balader à dos de chameau et tout ça,vous n'avez rien compris à nos aspirations.
oh non felten pas du tout,je ne suis pas rancunière pour 2 sous,je vous assure!d'ailleurs vous n'avez fait qu'emettre une opinion avec laquelle je ne suis pas d'accord certes mais je n'ai pas à vous en vouloir pour autant.felten wrote: mais je soupçonne aussi que tu ne m'as pas pardonné mon irréverence Khadhaouiste ???
me tromperai-je?
El moussameh, n'est-il pas Karim?
Ce texte, ici résumé librement, est paru dans Le Temps stratégique No 64, juin 1995, pour le texte intégral hyper fouillé et documenté, l´adresse suivante: -http://www.archipress.org/batin/berque.htmDans son numéro 64 (de juin 1995), "Le Temps stratégique" a publié un essai de Jacques Berque consacré au troisième grand courant spirituel de l'Humanité: "Quel Islam?". Ce texte était le dernier écrit de Jacques Berque, qui s'est éteint le 27 juin 1995. En avril dernier, la chaîne thématique franco-allemande ARTE a consacré à Jacques Berque une émission entière, où ce grand spécialiste du monde arabo-musulman s'est exprimé de manière très pointue sur les grands dossiers de l'actualité. Il nous a paru intéressant de nous en faire ici l'écho. Cette synthèse a été rédigée par Réda Benkirane, de la rédaction du "Temps stratégique".
Observateur depuis plusieurs décennies d'un terrain qui va de l'Euphrate à l'Atlas (titre de l'un de ses livres), Jacques Berque voit dans l'actualité troublée de l'aire islamique l'"émergence de situations à l'œuvre depuis longtemps" et qui appellent à des "solutions à long terme". C'est donc par le biais de l'Histoire qu'il cherche à éclairer ces "phénomènes profonds".
L'Islam trop proche
De manière générale, l'Islam, dit-il, "est toujours un grand méconnu, toujours en discordance avec ce qui l'entoure". Il reste le "le frère rejeté, et qui se sent tel". Contrairement à ce qui paraîtrait de prime abord, le malentendu entre Occident et Islam viendrait non pas d'un éloignement des cultures mais de ce que ce dernier "est trop proche peut-être, géographiquement, historiquement et même essentiellement, car les deux civilisations, gréco-romaine d'un côté, et islamique de l'autre, ont pratiqué au cours de leur histoire beaucoup d'échanges". L'Islam souffre "du trop de proximité, et peut-être même du trop de fraternité avec la civilisation méditerranéenne".
N'ayant pas connu l'équivalent de la Renaissance et de la Révolution, "géopolitiquement, l'Islam est acculé à un rattrapage, et il se situe jusqu'à présent dans des formes de rattrapage plus ou moins réussies".
"La démarche islamiste théoriquement plaidable"
Approfondissant la question du retard par rapport à l'expansion "en impérialismes" de l'Occident industriel, Jacques Berque précise que l'enjeu, à l'aube des années 2000, n'est pas celui du rejet de la modernité. Le problème est posé différemment par les nouvelles générations: "ceux qu'on appelle aujourd'hui islamistes ne sont pas comme les vieux croyants de la génération précédente qui étaient anti-progrès (opposés par exemple à la diffusion du Coran sur les ondes). Les islamistes sont au contraire pour le progrès technique, la Révolution Industrielle, l'informatique et tout le reste... Seulement ils ne veulent pas que leur collectivité acquière ce progrès matériel en passant par le même chemin que l'Occident: celui de la démocratie, de la critique et des Lumières. Ils veulent un chemin qui leur soit propre et qu'ils situent, eux, dans les perspectives d'une morale religieuse".
L'historien suggère d'essayer de comprendre cette position, en avançant les faits qui militent pour une divergence avec la voie occidentale, dont le progrès matériel et technologique s'est accompagné de "laxisme, d'amoralisme, de cynisme et de massacres". Les scénarios futurs de l'humanité ne sont pas forcément inscrits dans ce que l'Occident est aujourd'hui. C'est pourquoi la démarche islamiste "est théoriquement plaidable".
"Mais pas jouable pour l'heure"
Berque estime pourtant que, pour l'heure, le projet islamiste "n'est malheureusement pas jouable": "La position [islamiste] serait crédible si elle s'assortissait d'une renaissance spirituelle. Or cela n'est pas le cas.[Si cela l'était,] je serais bien placé pour le savoir, car je verrais se multiplier les études originales sur le Coran et le Hadith [ensemble des paroles prophétiques], qui me seraient utiles à moi, traducteur du Coran." Aucune revivification de ces sciences religieuses n'a lieu actuellement dans la zone islamique. Il y a simplement "un transport de la religion dans la politique". Cette "procédure" a existé dans le christianisme, mais "a toujours échoué".
"Nous voudrions croire qu'il existe d'autres voies que la voie occidentale que la voie technologique, poursuit le vieil orientaliste. Pour l'instant ce n'est pas ce qu'ont joué ces peuples".
La "faute algérienne" de la France
Évoquant l'Algérie, sa terre natale, où tous ces enjeux se posent de façon tragique, Berque observe que "de tous les pays arabes, il est celui qui n'a pas résolu sa question culturelle, ni sa question linguistique". Pour Berque la responsabilité historique n'en incombe pas uniquement à ses dirigeants politiques, même s'il les invite à entreprendre une "vigoureuse autocritique". "L'erreur, dit-il, vient de plus haut: c'est parce que la France, en 130 ans, n'a pas voulu ni su éduquer les Algériens, qu'une grande part des population algériennes en sont restées à un certain stade, qui les a rendues sensibles à certaines propagandes".
Pour sortir de la guerre actuelle, qui oppose le régime militaire algérien aux groupes islamistes armés, Berque prône le dialogue: "Le problème n'est pas de savoir si le FIS est démocrate, c'est de savoir si on peut dialoguer avec un autre que lui. (...) Il vaut mieux s'orienter vers une conciliation, une inter-compréhension plutôt que vers le massacre réciproque".
Les conséquences désastreuses de la guerre du Golfe
Berque attribue une bonne part des désordres actuels, l'éclatement du monde arabe notamment, aux effets secondaires de la guerre du Golfe. "J'aurais apprécié de la part des Américains, qui ont été très lents à se mobiliser contre le véritable Hitler, de ne pas faire tant d'histoires pour l'Hitler métaphorique [Saddam Hussein] qui leur a donné l'illusion d'une puissance quasi divine, (...) plus facile à exercer dans les plaines de Mésopotamie que sur les montagnes de Serbie, où avaient été mises en déroute deux ou trois divisions de SS pendant la dernière Guerre mondiale".
Berque regrette amèrement la position que les Français ont perdue en rejoignant "une coalition contre l'Irak plus nombreuse que contre Hitler". La France était jusqu'alors pour "une grande puissance, qui comptait comme médiatrice en Méditerranée, et s'installait sur les rivages de la Mer Rouge, du Golfe et de l'Irak, où elle avait entièrement supplanté les Britanniques. A ce jour, les Arabes n'ont donc pas compris que la France ait accepté de jouer la supplétive des Américains dans une affaire où elle avait tout à perdre... Ou alors c'est qu'elle éprouvait une sorte de haine désintéressée pour l'Islam et les Arabes."
Plaidoyer pour un Islam "gallican"
Pour Jacques Berque, la France pourrait être un foyer de dialogue entre cultures. Il souhaite qu'y soient établis des instituts islamiques spécialisés qui participeraient à la création d'un Islam de France, d'un Islam "gallican". La France pourrait être le laboratoire où s'élaborerait "un Islam de progrès, au fait des problèmes d'une société moderne (...) Figurez-vous le retentissement que cela aurait sur le reste de la zone islamique. Un Islam de progrès est le seul adversaire capable de faire reculer l'islamisme!"
L'auteur de L'Islam au défi et d'Andalousies rattache cette esquisse de "solutions à long terme" à une solidarité méditerranéenne, déjà effective entre les deux rives, qu'il s'agit de mieux outiller, et dont il regrette qu'elle n'intéresse guère l'Europe de Maastricht . "Plus cette Europe progresse, entre guillemets, plus elle devient nordique et anglophone." Le projet méditerranéen, estime Berque, devrait se faire d'abord "entre les trois nations latines et le Maghreb" mais il s'agirait, dans un second temps, de "ne pas écarter la Turquie, l'Égypte et la Syrie".
A mon avis c' est la question de compatibilité qui est le vrai sujet qui devait etre etudié, et aussi le vrai probleme que rencontre le monde arabo-musulman face aux defits de progres et de developpement .Ainsi il devient raisonnable logique et credible de preciser les defits et les objectifs attendus et voulus en genre, en ordre de priorité,et en exigence, en un premier pas ,ensuite preciser les points de non compatibilité,s ils existent,et qui doivent exister d ailleurs, et les etudier une à une tout en cherchant les solutions ,et ce meme dans textes islamiques,et personnellement j ai la forte conviction intuitive(on ne peut pas tout prouver), que les solution existent,il suffit qu il y aient les bonnes anlyses et deductions aboutissantes à nous en sortir de cet impasse .jouda wrote:Vivre sa foi et suivre les directives de sa religion est-il compatible avec la modernité et les nombreux défis que nous lance notre époque?
mais la réponse existe déjà dans le sujet mindef,ou si tu veux plusieurs réponses existent,mais bon,il ya 9 pages qu'il faudra liremindef3 wrote:ألا يوجد معقب على هذه "الخطة" التي لا أراها ترى النور إلى قيام الساعة.