Après les echecs cuisants et les vaines tentatives des zèros virgule pour faire tomber le gouvernement ,la troika en est sorite victorieuse et maintenant c'est à elle d'lmposer le verdict des urnes

Se rendre à l'évidence ou mourir, où se positionnent les partis politiques?
Optimiste de nature, je dirai : par la force tunisienne de se rendre à l’évidence, la Tunisie gagnera très prochainement en efficacité institutionnelle, économique et en démocratie.
A mon humble sens, la vie politique en Tunisie se tourne et se contourne entre et par les mains de ses acteurs selon deux raisons essentielles. Avec ces derniers jours trois acteurs, dont un nouvel émergeant de l’ANC.
- Comment travailler et créer une synergie d’acteurs pour bâtir (institutionnellement et politiquement) une vraie et réelle rupture avec les méthodes rcd (corruption des valeurs, mafiosisation des relations économiques au niveau du marché, des échanges, du commerce, de création d’entreprise…, et mettre fin à la main mise d’un parti politique qui dominera de nouveau la société ? comment mettre fin à l’existence du modèle parti politique qui fait
état et société au même temps, ainsi assurer définitivement le non retour à la dictature du parti unique) ? Dans cette dynamique on trouve entre autre au niveau des représentations à l’anc., le CPR, ennahda, ettakatoul, et des partis comme wafa, le groupe dignité et liberté qui est lui même devenu parti politique). En dehors de l’Anc, je site le parti reforme et développement.
- La deuxième catégorie qui est davantage médiatisée dans la vie politique tunisienne ; ses acteurs se rejoignent entre autre sur quelques points : comment limité au maximum la présence d’ennahda dans les institutions et sur le terrain ? Puis comment faire échouer l’expérience d’alliance entre des partis laïques et un parti à référence valeurs religieuses, inédite dans le monde arabe ? On trouve dans ce groupe, entre autre : l’ancien pole
moderniste, aujourd’hui explosé entre le front populaire et l’union de la tunisie qui à sa tête un leadeur historiquement au solde de l’ancien pouvoir psd/rcd. Mais qui à jouer un rôle important dans les élections libres du 23 octobre 2011. On trouve aussi le noyau dur de l’union de la Tunisie qui est nida tounis, avec le même leadeur. Toutefois on trouve dans ce nida des gens comme Ksila, Baccouche, Marzouk, Akrimi, et qui sont des personnalités
qui font très peur à la majorité des tunisiens. On trouve aussi dans cette deuxième catégorie les supra médiatisés le poct et el wattad ‘’petit parti d’extrême gauche révolutionnaire et internationaliste, le poct, et un certain extrémisme nationaliste mélange d’extrême gauche et de révolutionarisme anarchique, el wattad. Sans compter certains autres groupes comme les baassistes, le parti d’echaab, des unionistes arabes particulièrement porteur
d’une violence envers les adversaires, et des kadafistes extrémistes et et et , et toute cette cuisine des années 1960-1970 qui a dormis un moment, et par cette période de démocratie, elle se réveille pour s’exprimer. Dans ce même groupe on trouve des partis comme eljoumhourie ‘’la nouvelle bourgeoisie tunisienne et qui a des liens forts à l’étranger’’. A la tête de ce rassemblement de deux partis (le PDP, et Afeq tounis) qui font eljoumhourie
aujourd’hui, on trouve l’emblématique par ses positions ‘’tremblantes/troublantes/instables’’, Ahmed nejib echebbi.
- Le nouveau parti qui fait référence aux valeurs de la république ‘’nouvelle formation avec 14 représentants à l’Anc’’, vient profiter de la situation pour essayer de se mixer dans le jeu (pour ou contre le processus démocratique), comme forme/force intermédiaire, mais avec l’idée d’apporter une nouvelle marge dans le décor politique, et peut-être devenir connu et reconnu par l’establishment dominant sur la seine nationale (partis politiques et
société civile). Il existe plusieurs petits groupes comme lui. Est-ce que ces groupe peuvent s’inscrire dans l’une des finalités du front populaire/union pour la tunisie, qui est mettre un terme à l’expérience alliance troïka ? je ne peux répondre à cette question. Est ce qu’ils sont dans la logique de couper ennahda des institutions malgré sa 1ère place en la représentation politique à l’Anc et sa forte représentation dans la société ? il me
semble que oui.
Sachant que dans la normalité des choses les institutions de l’état doivent être en dehors des enjeux politiciens. Aujourd’hui l’administration tunisienne souffre de l’héritage PSD/RCD. Les reformes pour reconstruire un mieux faire et un mieux être institutionnel, vont être dur à faire passer.
- Pour finir, je dirai : la tunisie a perdu beaucoup, avec ces crises politcopolitiques. La justice transitionnelle pourra devenir menacée de a à z, c’est le but de l’alliance front populaire/union pour la tunisie. (…), en final, et je suis convaincu, les situations, institutionnelle, politique, sécuritaire, économique, vont gagner en meilleur fonctionnement, en efficacité, et en démocratie. Les partis qui forment l’actuelle alliance d’intérêt
objectif (union pour la tunisie et le front populaire) finiront par se résoudre à l’évidence :
- la force de l’état tunisien, malgré cette période de transition,
- la force qui unit la troïka et ses alliés, malgré les va et vient chez ettakattoul,
- la forte force de la grande majorité des tunisiens qui refuse le retour de l’ancien régime (anciennes méthodes), et qui tient à construire une vraie et réelle rupture avec les politiques d’elfassade et de la dictature du parti qui fait parti/état/société.

Ben Ali harab. Mandhouj Tarek. http://www.babnet.net/festivaldetail-70139.asp

Les propositions de la troïka sont des propositions pour la solution et dans la solution. Mais le front populaire et al massar naviguent en dehors de la solution. Dommage pour eux. Ces partis n'ont jamais saisis les occasions pour construire une crédibilité. Normal, ils croient beaucoup dans le soutien des leurs amis étrangers. A titre d’exemple, Il faut juste savoir qu’il y a une énorme différence entre le front de gauche en France ‘’inscrit
dans les méthodes républicaines et dans les outils démocratiques’’ et le front populaire en Tunisie comploteurs et non démocrates. Le front populaire et al massar veulent gagner par l’anarchie ce qu’ils ne gagneront jamais par les urnes. Ils sont incapables de solutionner avec leurs propres compatriotes. Ils deviendront les exclus de l'histoire. Dommage pour la gauche et ces nobles valeurs humaines. Mais voila la gauche arabe continue
tranquillement à être bette, tant pis. Ben Ali harab. Mandhouj Tarek.

Ce refus constitue un minimum pour la troika pour preserver son existence et respecter la majorité du peuple qui l'a élue. Messieurs les membre de la troika n'ayez pas peur, le peuple suit bien les manigances de l'opposition et sera derrière vous le moment venu.

Si la nahdh se retire du pouvoir vous allez regretter l'espace de liberté et de dignité dont jouit la tunisie.
regardez en egypte , meme internet est coupé.

Mais qui cette opposition, mr sebssi l'a affirmé s'etre desolidarisé des excités de bardo.
les autres se ridiculisent chaque jour plus.
par ailleurs , l'ugtt fearit mieux de s'expliquer sur la fortune de ses dirigeants au point qu'un certain ayari offre deux 2000 dinars a une danseuse lors d'une soirée houleuse qui a degeneré .d'où vient cet argent a simple fonctionnaire qui travaille pas.

Les khouanjias vont amener la Tunisie à la violence juste pour sauver la face.
regarder la tête de ce attik. même son nom indique qu'il appartient au passé .
Samidoune houna contre ennakba.

Les marchands de tapis perdurent dans leur tractation et pendant ce temps la patrie tunisienne attend et son peuple avec quelle tragédie