@ Ahmed Beyoub (France)

Salut,
je trouve que vous êtes d'une contradiction fatale, au cœur de l’antidémocratique.
D'un côté vous soutenez la nécessite d'aller à l'avant en matière économique et de l'autre côté vous soutenez le passage en force d'une proposition élaboré sur mesure pour justement ne rien faire et surtout permettre aux hommes d'affaires accuser du vole des crédits de la nation de faire travailler leur capitaux à l’étranger comme ils veulent. ce projet de loi n'a rien de bon, n'a rien de sérieux n'a rien de garanti, toute est fait sur
mesure.

Nous avons soutenue dès le lendemain de la révolution de faire vite en matière de justice transitionnelle (volet financier et d'entreprises bloquées par la loi) afin de permettre une fluidité sur le marché du travail et du capital, et faire profiter la Tunisie d'une dynamique économique et de croissance. La contre révolution à l'époque n'a pas soutenue cette proposition sans que les rcdistes retournent au pouvoir.

sans être très long: si le président de la république a adressé sa proposition à l'IVD afin qu'elle soit un petit peu revue, et n'a pas transgressé la constitution le projet loi de la réconciliation économique et financière sera déjà en plénière, et peut-être même déjà promulgué.

tout le monde a un grand intérêt que ça aille vite, et que les tunisien retrouve la dynamique nécessaire pour plus produire des richesses, mais pas de cette manière putschiste sur les institution.

la solution est entre les mains de l'ARP, de refuser le traitement de ce dossier, si non la solution passera par la rue, et ce jour là Bajbouj dira "ils m'ont trompé". et ça sera trop tard.

On ne peut pas résoudre un problème en créant un autre plus grand:
Mme ben Sedrine est une militante reconnue par tout le monde.
les méthodes d'intimidations ou de persécutions de l'ancien régime ne peuvent que compliquer la situation et créer un rejet chez le peuple.
ce comportement à l'ancienne est la cause de la révolution.
oui Mme ben sedrine ne tient pas compte de la raison de l'état.
elle traite le problème uniquement du côté du droit et de la justice...
pour remédier à ce manque de décernement, il suffit de laisser la plus grande instance démocratique du pays, qui est le parlement, faire son travail.
il y aura les amendements nécessaire et le vote..

il faut que la Tunisie repart économiquement...
les capitalistes fautifs devraient régler leurs dus et reprendre le travail. nos biens volés par les Ben Ali et les trabelsi devraient être récupérés ..
toute loi qui permet ceci est bonne
la plus mauvaise chose en politique est '' ne rien faire''
d'ailleurs les Ben Ali et les trabelsi ne souhaitent que ça..

Au lieu de préparer les projets de loi pour les elections municipales. Ils perdent le temps a discuter le projet de soi disant reconciliation et celui de l'IVD....juste pour faire plaisir a BCS ou plutot inventer de faux problemes et devier les yeux sur Dieu sait quelle magouille. Aurons nous un jour de vrais hommes qui veilleront au bien de la Tunisie et des tunisiens?