Tunisie: Le taux de chômage a baissé de 2,2pc en 2012 (ministère)

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Tap - Le taux de chômage en Tunisie a baissé de 2,2pc en 2012 par rapport à 2011, soit 16,7pc au cours du quatrième trimestre de 2012 contre 18,9pc au cours de la même période de 2011, selon les dernières statistiques de l'institut national de la statistique (INS), a précisé le ministère de la formation professionnelle et de l'emploi dans un communiqué publié jeudi.

Le nombre des chômeurs est passé de 738 mille, début 2012 à plus de 653 mille fin 2012, selon des résultats du recensement national sur la population et l'emploi effectué par l'INS tous les trois mois.

...

Le nombre des nouveaux postes d'emploi crées au cours des trois derniers mois de 2012 s'élève ainsi à 11 mille, sans compter les résultats de la plupart des concours de recrutements dans la fonction publique, qui ont démarrés fin 2012.

Le taux des personnes sans emploi parmi les diplômés du supérieur a diminué à 34,2pc au cours du premier trimestre 2012 à 33,2 pc au cours du dernier trimestre 2012.

Le taux du chômage des hommes a baissé au cours du quatrième trimestre 2012 à 13,9pc contre 15,4pc au cours de la même période de 2011.

Celui des filles a baissé à 24,2pc contre 28,2pc au cours de la même période.

Les résultats du recensement de l'INS montrent que le taux de chômage a enregistré une baisse dans la plupart des régions à l'exception du district de Tunis où il a augmenté de 17,2pc au cours du dernier trimestre de 2011 à 17,4pc au cours de la même période de 2012.



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Comments


9 de 9 commentaires pour l'article 60512

Ghazi00000  (Tunisia)  |Lundi 4 Mars 2013 à 00:25           
Création d'emploi dans le secteur public (20000 postes) n'engendre une création de richesse, au contraire ça alourdi le budget.

Srettop  (France)  |Vendredi 15 Février 2013 à 09:43           
Etre membre des comités de soutien à la révolution est-il considéré comme un emploi?

ANTIREVOL  (Tunisia)  |Vendredi 15 Février 2013 à 09:17           
A quel prix cette baisse a été réalisée?
avec un recrutement de presque 30000 chômeurs dans la fonction publique dont la productivité est presque nulle et avec une demi heure de travail effectif par employé par jour.
par un accroissement du déficit budgétaire pour assurer le paiement des salaires.
par une envolée du taux d'inflation qui a atteint déjà les deux chiffres.
par la dépreciation du cours de change du dinar.
par l'accroissement du déficit de la balance commerciale.
par...

c'est vrai qu'on a réduit le taux de chômage mais on a détruit notre économie.

Mandhouj  (France)  |Jeudi 14 Février 2013 à 23:37           
La france pays de stabilité politique, d’une économie sans frontières, à part les frontières culturelles et mentales (l’homme français ne pas très inventif par rapport aux allemands, japonais, malgré toutes les délocalisations pour la recherche des solutions faciles, ou dites faciles) (…), dans cette france pays de grande économie , malgré tout, le chômage est en hausse depuis 3 ans consécutives –si je ne me trompe pas-, hollande depuis plus que
6 mois, reste non convainquant (il vise sur le moyen terme, voir le long terme) (…). et puis en tunisie, que quoi-je dire ? (…). sur le site nawaat l’année dernière il ya eu une série de 9 articles sur ce sujet de chômage, il serait intéressant de les visiter. (voila un commentaire de l’époque sur le dernier article). merci babnet.
le chômage, une maladie du système libéral.
l’état en tunisie à mon sens à besoin d’être à nouveau refonder et non uniquement reformé.
on ne peut combattre et démanteler les mécanismes de la dictature, de la spoliation, de la bureaucratie, des mécanismes administratifs qui se chevauchent et qui ne se croisent pas. on ne sait pas qui fait quoi et qui commande qui et une demande dépend de plusieurs organes de réponse qui elles ne dépendront pas d’une unique institution tutelle (voila, la complexité parfaite). le simple citoyen qui souhaite entreprendre, les parcours administratifs
le fatigue avant qu’il commence son projet, idem pour l’investisseur étranger, le chômeur en tunisie sa situation en terme de parcours d’insertion est plus que compliqué, vous l’avez bien expliqué.
pour ne pas aller par deux ou plusieurs portes, je dirai que la tunisie a besoin d’être décentralisée.
- une décentralisation qui allège l’état,
- une décentralisation qui simplifie les parcours administratifs en matière d’investissement et d’insertion,
- une décentralisation qui ne met pas une échelle de collectivité territoriale contre une autre, mais solidarité et complémentarité, – une décentralisation qui ne met pas les territoires (les collectivités territoriales contre l’état, éclaircissement des rôles et des moyens,
- une décentralisation qui ne pas uniforme sur tout le territoire national, il faut permettre la naissance des grandes régions et d’autres forme d’agglomérations (petite et grandes intercommunalités), tout dépend de la pertinence de ces nouveaux unions administratives, c’est agir par la cohérence et non pas par le kif kif partout sous prétexte de la recherche de l’équilibre. il faut permettre la dynamique, la proximité, le partenariat. la tunisie
ne peut pas attendre la réalisation des grands projets d’infra structure routiers et autoroutiers pour réaliser au plutôt possible une décentralisation par le biais de la cohérence. c’est notre salut, politique, car ça permettra à plusieurs nouveaux acteurs de trouver leurs places et gagner des espaces d’activité, et ça permettra au citoyen éloigné de la politique de s’investir par le fait de la proximité de l’échelle territoriale et il trouvera
un sens à son engagement par la facilité d’exercer le contrôle démocratique à travers les conseils territoriaux.
toute reforme de l’état en dehors d’une décentralisation par le biais de la cohérence, sera comme une nouvelle complication et une autre forme de fardo pour l’usager et pour les services. il ne sujet en tunisie d’une nouvelle et bonne gouvernance que dans le cadre d’une décentralisation. en plus toute reforme dans l’actuel forme administrative de l’état sera un véritable gâchis, car reformer c’est très couteux et l’argent il faut mieux l’engager
dans du sûr et du moderne. par le biais de décentralisation tunisie comme état pourra être considérai comme un état moderne administrativement. en matière de gestion des affaires politique et administratives les tunisiens ont besoin de changer de culture de faire, de gérer de gouverner, ce changement souhaité ne peut pas être appris à l’école, il faut changer l’espace du travail et les référentiels. l’état restera l’état dans ces grandes missions
régaliennes et au-delà, comme le garant des libertés fondamentales et d’une justice sociale pour toutes et tous.
- dans la nouvelle constitution espérant lire entre autre : la tunisie est un pays décentralisé.
- l’éducation nationale, l’enseignement supérieur, la formation professionnelle, la formation continue, l’emploi, le travail, l’insertion professionnelle, la recherche scientifique et des nouvelles technologies : tous ces ministères et pôles d’activités au niveau du gouvernement, seront réunies dans un grand ministère comme vous l’avez proposé, je peux l’appeler : le ministère du savoir, de l’emploi et de la promotion. bien sur avec plusieurs
secrétaires d’états, ainsi en évitera tous les zigs zags et on gagnera en efficacité et en temps, en visibilité et lisibilité. c’est le vrai investissement sur l’avenir et sur l’humain que la tunisie de la révolution est amenée à le réaliser. ben ali harab. mandhouj tarek.

David  (Tunisia)  |Jeudi 14 Février 2013 à 18:38           
يهبط ما يهبطش بنتي مجازة في الفيزياء من جوان 2006...ايام المخلوع قالولي تدفع سبعة ملاين تقري بحذاء دارها...قلنا حرام وتو تتبدل لومور...فعلا تبدلت اما بالنسبة ليا انا مريم في الشوماج دي لوكس

Dorra  (Italy)  |Jeudi 14 Février 2013 à 18:10           
@sikobissou..
c'est un honneur pour d'etre attaqué par les khouanjia et les lèche bottes de ennahda comme toi. nous les amis et les camarades de chokri belaid serons toujours une épine dans la gorge de ces opportunistes incompétents tojjar eddin de ennahda.

Ammar  (Tunisia)  |Jeudi 14 Février 2013 à 18:09           
Gouvernement "fachel" selon nos médias et notre opposition:
-taux de croissance en 2012 de 3,5% contre -2% en 2011
-120.000 créations d'emplois dont 85.000 dans le privé et 35.000 dans le public et baisse de 2,2 points du taux de chômage
-80% de croissance des ide
-des milliers de dossiers de corruption ouverts et des actifs récupérés et vendus par l'etat
-croissance du tourisme de 35%
-année agricole record
-maintien de la paix civile malgré les complots

Dorra  (Italy)  |Jeudi 14 Février 2013 à 17:52           
Ces statistiques de propagande me font rappeler les chiffres de zabaou bien tout va bien madame la marquise..
c'est incroyable comment les khouanjai sont entrain de suivre à la lettre la façon de gouverner de ben ali. le rcd est mort, vive les khouanjia

Srettop  (France)  |Jeudi 14 Février 2013 à 17:46           
Ces chiffres sont aussi inexacts que ceux que publiait zaba. ils constituent une insulte à l'intelligence des tunisiens!


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