Poids démographique des différents gouvernorats en Tunisie: Tunis et Sfax en tête (au 28 février 2011)

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Selon le centre national de la statistique l’estimation de la population (mise à jour le 28 février 2011) est de 10 549 100. Par nombre d’habitants le gouvernorat de Tunis est en tête avec 1 000 300 habitants suivi par Sfax (931.0) et Nabeul (752.8)

En 2005, la Tunisie a dépassé le cap des 10 millions d'habitants, ce qui correspond à un triplement de sa population depuis 1956 (3 448 000 habitants) et à un doublement depuis le début des années 1970. Néanmoins, la croissance démographique ralentit, le pays accélérant sa transition démographique dans les années 1990. L'indice de fécondité recule graduellement : le nombre d'enfants par femme est passé de près de 6 dans les années 1960 à 3,4 en 1994 et serait de deux en 2007 (niveau le plus faible du monde arabe).
L’Espérance de vie est de 74,3 (2007)
...

MM






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Comments


7 de 7 commentaires pour l'article 33486

Habib  (Tunisia)  |Samedi 12 Mars 2011 à 11:55           
Je partage entièrement l'avis de ker concernant l'autonomie réelle des régions avec un président de région élu qui aura à gérer le développement économique et social de cette entité. quand on examine ces statistiques, en leur accordant un certain degré de confiance, on remarque des écarts énormes de développement démographiques entre les gouvernorats durant la période 2006-2010. on se pose des questions, pourquoi monastir et sousse ont crû de
8.4% et 7.7% alors que 16 gouvernorats ont reculé (croissance négative par rapport à la moyenne nationale). sans commentaires.

Maino  (Tunisia)  |Vendredi 11 Mars 2011 à 12:43           
Quel crédit peut-on accorder aux statistiques de l'ins lorsqu'on sait que même des données aussi basiques que le nombre d'habitants et leur répartition géographique sont manipulés et traficotés par les anciens responsables politiques

Fanfan  (France)  |Vendredi 11 Mars 2011 à 12:26           
Trop d'enfants,trop de mariages endogamiques qui ne favorisent pas l'hétérosis, trop de chômeurs sans diplômes ou avec un diplôme non monnayable sur le marché de l'emploi , trop de bouches à nourrir, trop de misère, trop de saleté dans les quartiers qui ceinturent les grandes villes. certains endroits du pays deviennent très dangereux et c'est inquiétant. les campagnes se sont vidées de leurs habitants après avoir été pillées de leurs
ressources forestières. et c'est le désert qui avance à grand v . j'ai été meurtri en découvrant des paysages arides et des bidonvilles à constructions anarchiques qui ont remplacé les beaux vergers et les terres arables et fertiles du grand tunis. un paysage désolant vraiment.

Tounsi  (Tunisia)  |Vendredi 11 Mars 2011 à 11:50           
Un tunisien sur dix réside à l'étranger, soit au total 1 million 057.797 personnes, . outre les fortes concentrations dans certains pays (la france, l'italie, la libye, etc.), la présence tunisienne est certes réduite mais significative dans certaines contrées éloignées. c'est ainsi que nous dénombrons 155 tunisiens en afrique du sud, 192, entre la cote d'ivoire, le togo et le bénin, 42 au brésil, 198 en chine, 329 en indonésie et... 624 au
japon. l'amérique du nord pousse, avec notamment 13377 ressortisants tunisiens aux etats unis et 14202 au canada. l'angletrre aussi, enregistrant pas moins de 6526 tunisiens. une véritable mutation qui commence à se dessiner, par rapoprt à l'émigration traditionnelle et la petite main d'oeuvre, avec plus d'universitaires, de cadres supérieurs et compétences pointues, à des positions élevés et dans des pays très diversifiés. une nouvelle
réalité suivie avec attention par les services consulaires et sociaux tunisiens et soutenue par un tissu associatif de plus en plus agissant.


Med  (Tunisia)  |Vendredi 11 Mars 2011 à 10:55           
Et à l'étranger ? c'est combien ?

Ker  (France)  |Vendredi 11 Mars 2011 à 10:34           
Avec une décentralisation du pouvoir et une autonomie assurée des régions, il y aura plus de facilité de vie administrative et sociale dans les cités moins peuplées. il y aura moins d’exodes vers les grandes villes et un repeuplement équilibré des régions. la décentralisation est le choix idéal pour éviter les erreurs du passé et chaque région aura son mot à dire.

pour vous montrer l’efficacité de l’autonomie régionale dans le développement, il suffit d’imaginer la région de kabylie si elle aura son propre président et son propre conseil administratif autonome. ils auront le droit de faire des relations internationales avec les entrepreneurs privés et les différents chercheurs du monde entier pour planifier et développer d’une manière durable. ils formeront des gens de la région pour mener à bien ce
développement. résultat : moins de chaumage, moins d’erreurs, facilité de contrôle,….etc.

Cicaraz  (Tunisia)  |Vendredi 11 Mars 2011 à 08:24           
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